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Essai détaillé / Suzuki Ignis 1.2 : citadine et plus

En bref

  • La dynamique

    Bien secondé par sa boîte manuelle 5, le 1.2 Dualjet se laisse exploiter sans précaution particulière sur toute sa plage de régimes. Il procure de belles prestations qui l’autorisent à sortir des centres urbains pour s’offrir quelques expéditions plus routières. L’Ignis ravit alors par son comportement routier sain et naturel. Précise, sa direction procure un rendu collant autour du point milieu, tandis que la pédale de frein manque de mordant à l’attaque.

  • Sécurité

    L’Ignis reçoit 6 airbags (frontaux, latéraux AV, rideaux) et l’ESP de série. Mais en l’absence d’option individuelle, il faut débourser 18.199 € pour accéder au niveau GLX et enrichir ainsi l’équipement de sécurité de l’aide au démarrage en côte et d’une double caméra qui assure les fonctions d’aide au freinage d’urgence automatique (actif entre 5 et 50 km/h – 30 km/h pour les piétons) et d’alerte de franchissement de ligne involontaire (active au-delà de 60 km/h).

  • Confort

    L’Ignis, c’est avant tout une habitabilité remarquable sur la banquette: près de 30 cm d’espace aux jambes, royal! C’est aussi un habitacle coloré et bien assemblé. Dommage: aucun plastique moussé. Les assises en hauteur facilitent l’accès à bord et offrent une bonne visibilité. L’isolation phonique est perfectible, mais elle n’empêche pas de converser avec son voisin à 120 km/h; on en connaît des plus «prestigieuses» qui ne peuvent pas en dire autant.

  • Sens pratique

    Les Ignis plus haut de gamme sont modulables: la banquette y est remplacée par 2 sièges indépendants et coulissants, aux dossiers réglables. Dans les versions plus dépouillées, la banquette monobloc est fixe, mais son dossier peut se rabattre (60/40) pour faire varier le volume du coffre de 267 à 1.097 l. Dommage que le seuil de chargement soit perché à 74 cm. Les espaces de rangement sont nombreux. Ils prennent le plus souvent la forme d’un porte-gobelet.

  • Budget

    A 14.199 € de base, l’Ignis n’est pas donnée; elle requiert encore 1.000 € de mieux pour jouir d’un autoradio et d’une clim’; autant dire que le tarif débute réellement à 15.199 €. La boîte automatique réclame 2.000 € de mieux et la transmission intégrale, 2.500 €. La plus onéreuse des Ignis atteint 19.499 €. Heureusement, son 1.2 est faiblement taxé et il conserve un appétit mesuré quelle que soit l’utilisation que l’on en fait. La garantie est aussi appréciable: 5 ans ou 150.000 km.

Suzuki Ignis 1.2 : citadine et plus
Conclusion / Suzuki Ignis 1.2 : citadine et plus

L’Ignis nous a véritablement séduits sur toute la ligne: son design rafraîchissant, son habitacle lumineux, son habitabilité remarquable, ses aspects pratiques, son 1.2 volontaire… jusqu’à ce que l’on s’intéresse à son prix: un minimum de 15.000 € pour jouir d’un véhicule un peu équipé, c’est trop! Dommage, car l’Ignis a vraiment tout pour plaire dans un segment très concurrentiel.

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