Premiers essais
Jeep Gladiator : nouveau roi de l'arène ?

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Mercedes ne commercialisait jusqu’il y a peu qu’une seule voiture purement électrique: la B 250, dont la production a récemment cessé. Avec l’arrivée de la nouvelle Classe C en 2015, l’hybride rechargeable a fait une entrée remarquée, suivie récemment par la variante SUV de cette Classe C, le GLC. Et voici que nous arrive un troisième modèle, la version «verte» de la Classe E.
On sait qu’une voiture hybride rechargeable possède aux moins deux moteurs (l’un thermique, l’autre électrique, d’où la dénomination «hybride») ainsi qu’une batterie d’une capacité suffisante pour permettre à la voiture de rouler significativement longtemps en mode purement électrique, alors qu’une hybride «normale» se contente d’une batterie de beaucoup plus faible capacité, qui ne lui permet de parcourir à l’électricité que quelques kilomètres à peine. L’autonomie en mode électrique d’une hybride rechargeable dépend de la capacité de la batterie. A bord de la E 350e, cette dernière fait un peu plus de 6 kWh, ce qui signifie que le rayon d’action en mode électrique est relativement limité. Nous y reviendrons.
Au contraire de sa petite sœur la Classe C, la E n’offre pas le choix entre hybride (h) et hybride rechargeable (e): l’association du Diesel et du moteur électrique ne fait pas partie des possibilités. Sans doute ce choix s’explique-t-il, du moins en partie, par le Dieselgate, le moment n’étant pas spécialement bien choisi pour faire rimer Diesel et respect de l’environnement, en partie à tort. Mais ceci, comme dirait Kipling, est une autre histoire…
Dans cet article : Mercedes-Benz, Mercedes-Benz Classe E