Le PDG de Renault, Luca de Meo est bien décidé de scinder les opérations liées aux moteurs à combustion et celles pour la voiture électrique en deux divisions distinctes. Ce plan de développement issu de la « Renaulution » se fera même sans les partenaires japonais de l’Alliance formée entre Renault, Nissan et Mitsubishi. Comme il l’a déclaré, « ils savent que nous devons le faire, que nous le ferons et nous leur avons ouvert la porte pour chaque projet. […] À la fin, c'est leur décision s'ils veulent sauter dans le bateau, mais le train quitte la gare ».
Syndicats et partenaires
Selon Automotive News, les négociations avec les syndicats et les discussions tous azimuts ont commencé. Nissan et Mitsubishi Motors sont bien sûr dans le jeu et seront mis au courant des détails de ce plan de transformation à l’automne. Ils pourront décider d’y participer complètement ou partiellement (ou non). D’autant que les relations entre les constructeurs de l’Alliance sont « très bonnes » selon de Meo. Par ailleurs, le PDG n’exclut pas d’accepter d’autres partenaires.
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