Essais blog
Aston Martin DBX, ce que j'en pense

Connectez-vous
Mot de passe oublié ?
×Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.
Notre outil de comparaison vous permet de comparer jusqu’à 3 voitures à la fois et d’enregistrer 9 comparaisons dans votre panier.
Glissez et déposez un véhicule de votre panier ci-dessous vers l'un des 3 emplacements ci-dessus destiné à la comparaison.
La Kawasaki Z1 n’aura été produite que l’espace de 4 ans, de 1973 à 1976. Mais c’est peu dire qu’elle a marqué les esprits avec son 4 cylindres en ligne de 900 cm3, capable de faire tomber la barre des 200 km/h. Une machine qui disposait du meilleur matériel possible. Le top du top de l’époque. Aussi l’esprit dans lequel allait être menée la production de la Z900RS revêtait-il la plus grande importance. Son designer, Norikazu Matsamura, s’est posé une question essentielle: «A quel point cette moto doit-elle se montrer moderne? A quel point cette moto doit-elle se montrer classique?» De son propre aveu, ce combat permanent entre ces deux mondes n’a pas quitté le designer une seule seconde, tout au long de son processus de création. Pour que la Z900RS ressemble à une machine des années 70, la position de conduite a été voulue plus basse et plus intégrée dans la silhouette. Sa partie la plus iconique est sans conteste son réservoir, en forme de goutte, et dont le lettrage «Z900RS» copie celui de «Kawasaki» présent au même endroit sur la Z1. Les compteurs, eux aussi, ressemblent à s’y méprendre aux «anciens»… mais avec une touche moderne, puisque ces derniers fournissent naturellement d’autres informations plus contemporaines. Idem pour les rétroviseurs: copies conformes de ceux de la Z1, ils ne vibrent toutefois plus grâce à la technologie moderne qui anime la RS. Certaines formes du châssis ou la silhouette du moteur de la Z1 ont également fortement inspiré le travail de Norikazu Matsamura, tout comme la finition chromée du guidon ou le bloc optique arrière surdimensionné pour évoquer l’âge classic.