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Industrie et économie / Industrie auto : brouille en vue entre la Chine et les États-Unis ?

Le Président Donald Trump voit une concurrence déloyale de la part de la Chine avec son obligation pour tout constructeur automobile étranger de faire une joint-venture avec une société chinoise.

Donald Trump pourrait s’attaquer à la Chine par le biais de la construction automobile selon le site d’information américain de centre-gauche Axios. Il n’apprécierait guère les droits de douane de 25 % appliqués à tout véhicule importé. Il aimerait encore moins l’obligation faite à tout constructeur étranger désirant s’installer en Chine de devoir le faire par le biais d’une joint-venture avec une marque locale. D’autant plus que l’entreprise chinoise, souvent propriété de l’État, doit posséder au moins 50 % des parts. Ce qui revient à dire que les constructeurs étrangers ne sont pas vraiment propriétaires de leur usine chinoise et restent sous la surveillance des autorités. Ce que l’administration Trump jugerait inacceptable.

Négociations

La situation pourrait mener à une « Car Wars » à partir du moment où les constructeurs chinois ne cachent plus leur envie de vendre des voitures sur le marché nord-américain. Et dans ce sens-là, le droit de douane est limité à 2,5 % et les marques chinoises seraient propriétaires de leurs usines sur le sol des États-Unis. À moins que Donald Trump n’amorce une stratégie de négociations pour obtenir des compensations. Parmi les pistes, il y a celles de n’autoriser les voitures chinoises sur le territoire américain qu’à la condition que les constructeurs chinois investissent aux USA, sans fuite de capitaux, et que les marques états-uniennes puissent devenir propriétaires de leurs usines chinoises. Sans quoi, les tweets risquent de fuser depuis Washington vers Pékin.

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