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Premier essai / Seat Ibiza

Même si le nom de baptême n'a pas changé depuis 24 ans, la nouvelle Seat Ibiza semble avoir pris solidement du galon. Qu'en est-il sur la route ?

Depuis le lancement du premier modèle en 1984, la Seat Ibiza en a fait du chemin. A l'ouverture de la porte, on est agréablement surpris par l'impression de qualité qui se dégage de l'habitacle. Le style de la planche de bord est sobre et le plastique mat moussé de sa partie frontale confère à l'ensemble un air de robustesse. Déjà très réussie à bord de la génération précédente, la position de conduite progresse encore. Enfin, le petit sélecteur de vitesse est toujours idéalement placé pour jouer du levier sans trop se fatiguer.

Sur la route, l'Ibiza a aussi sensiblement évolué. La précision du train avant s'apprécie en maniant le petit volant épais et très agréable à prendre en main. Dommage que la montée en effort de l'assistance électrique soit si faible, ce qui ne donne pas vraiment confiance en conduite énergique. Un défaut en partie corrigé sur les versions «Sport», qui jouissent d'un effort plus marqué. Un mot encore de la visibilité périphérique, qui souffre de montants de pare-brise implantés très en avant et gênants pour la vision de trois-quarts. Idem à l'arrière.

Si la gamme compte actuellement 6 moteurs, nous n'avons pour l'instant pu en découvrir que 4. Parmi les grands absents, le 1.4 TDI 80 ch, qui représentera sans doute une grosse partie des ventes chez nous. Idem pour le 1.9 TDI 90, retardé lui aussi de quelques semaines. En entrée de gamme, on trouve un douze-cents 3 cylindres de 70 ch. S'il ne faut évidemment pas en attendre des prouesses, il parvient néanmoins à tirer son épingle du jeu en situation urbaine et périurbaine en étant volontaire et relativement silencieux. Légèrement plus puissant, le quatorze-cents dispose d'un cylindre de plus et est assurément le plus homogène des moteurs à essence de la gamme. Un cran au-dessus, le 1.6 en a naturellement encore un peu plus dans le sac. Le surplus d'agrément n'est cependant pas spécialement remarquable. Du côté du Diesel, le bon vieux 1.9 TDI 105 n'est évidemment pas à la peine pour tracter l'Ibiza. Reste qu'en raison de son plus gros cubage, le dix-neuf-cents apporte un excédent de poids malvenu sur le train avant rendant la voiture un peu moins agile et précise en virage. La motricité aussi se détériore quelque peu.

La Seat Ibiza de 4e génération est une automobile bien née. En marge de son nouveau style plus affirmé, la plus populaire des ibériques progresse sur les plans de la finition, de la qualité perçue, du confort et du comportement routier. C'est principalement ce que l'on attendait d'elle, même si on aurait espéré l'une ou l'autre nouveauté sur le plan mécanique. Pour cela, il faudra encore attendre le lancement de la SportCoupé, prévu pour dans quelques mois.

Retrouvez cet essai complet dans le Moniteur automobile 1420 du 28 mai 2008.

Dans cet article : Seat, Seat Ibiza

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