Premiers essais
Porsche Boxster Spyder : travail manuel

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Que ceux qui trouvaient le dernier Boxster un peu trop gentil ou bourgeois se rassurent: (re)voici la variante Spyder! Comme pour le modèle de génération précédente (type 987), Porsche a souhaité remettre sur le marché un roadster consacré à l’essentiel, dépourvu de tout équipement superflu ou nuisible à la performance, dans le but d’offrir les sensations de conduite les plus pures. Avec, au programme, la traditionnelle cure d’allégement – d’emblée visible au niveau du toit, simplifié dans la forme et dans la fonction – et la radicalisation du châssis, accompagnée cette fois d’un solide upgrade mécanique. Plutôt que de s’atteler à dénicher les derniers chevaux en sommeil dans le 3.4 des S et GTS, les ingénieurs sont carrément allés prélever le «gros» 3.8 de la 911… juste avant qu’il ne disparaisse de sa penderie, déclassé par les nouveaux 3 litres turbo. Pour les connaisseurs, on résumera en précisant que la variante Spyder est au Boxster ce que la GT4 est au Cayman, à la différence près que le roadster arrive dans une définition de moteur légèrement adoucie par rapport à celle du coupé. On ne piétine pas les hiérarchies chez Porsche!
Dans cet article : Porsche, Porsche Boxster