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Premier essai / Bentley Continental GT V8 S

Apposé comme un suffixe à l'appellation GT, le S cache comme une métamorphose dans le cas de la Bentley Continental. Mine de rien, il transfigure ce coupé (ou ce cabrio, c'est selon).

Prix
NC

Après la W12, doublée de la radicale GT Speed et de la V8 «de base», toutes proposées tant en coupé qu'en cabrio GTC, arrive cette fois la V8... S. Pas une sportive pour autant, car la Continental souffre toujours d'un handicap pondéral certain qui l'empêche de jouer les ballerines. Non, le S est celui de Supplément. D'âme, par exemple. De prime abord, les modifications sont Superficielles. Elles touchent par exemple le moteur, qui, grâce à quelques réglages particuliers, gagne 21 ch pour arriver à 528 ainsi qu'une poignée de Newton-mètres. Pourtant, à l'aveugle (ce qui peut s'avérer dangereux pour une séance chrono), difficile, voire impossible de faire la différence avec le V8 de base.

Pourtant, il suffit d'en prendre le volant pour se rendre compte que quelque chose a changé. Ce train avant moins pesant, cette direction plus vive, voire un poil trop autour du point central, cette aptitude à s'inscrire dans les courbes, cet entrain - elle n'a rien d'un tortillard -, ce dynamisme et cette «impression» de légèreté... tout cela est nouveau. Oui, la voiture paraît plus homogène, plus cohérente, plus à l'aise dans ses baskets de 20 pouces. Toujours aussi confortable lorsqu'il s'agit de ne pas brusquer les pensées de celui qui conduit, mais dorénavant aussi plus apte à éveiller ses sens quand soudain il se dit qu'il se paierait bien une petite tranche de plaisir de conduire. Voilà qui résonne comme une pensée coupable de nos jours, pourtant, la tentation n'a pas disparu. Soit.

Il faudra un oeil averti pour distinguer une V8 d'une V8S. Des indices: la calandre noire barrée d'un jonc chromé vertical, des bas de caisse discrets, un «diffuseur» arrière, des jantes de 20 pouces spécifiques... Bien peu de choses, en réalité, pour masquer un tempérament qui a plus évolué que le léger gain de puissance ne pourrait le laisser croire. Entre V8 et W12, la S occupe le terrain. Avec brio. À tel point que les 15.000 euros qui la séparent de la version d'accès ne devraient pas constituer un frein. Entre gens du monde, ne parlons pas de ces choses-là...

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1574 du 30 avril 2014.

Dans cet article : Bentley, Bentley Continental GT

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