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Premier essai / Audi S4

La dernière génération S4 revient à ses premiers amours avec un V6 suralimenté fort de 333 ch. Autre évolution significative : l'apparition d'un différentiel arrière actif.

Le 6 cylindres implanté sous le capot de la dernière S4 n'est autre que le tout nouveau V6 introduit le mois dernier dans l'A6 restylée (3.0 TFSI, 290 ch). En chiffres, si le V6 délivre 290 ch dans l'A6, sa puissance atteint ici 333 ch, notamment grâce à l'augmentation de la pression de suralimentation (à 0,8 bar). Le couple atteint quant à lui 440 Nm de 2900 à 5300 tr/min.

La robe plus agressive de la S4 cache en toute logique un châssis adapté à la puissance du V6. La transmission intégrale est bien entendu de la partie. Elle est ici associée (en option) à un nouveau différentiel à répartition vectorielle de couple. Le système permet d'augmenter le couple appliqué à l'une ou l'autre roue arrière. Ce différentiel sport est d'office accouplé au programme de personnalisation Audi Drive Select par le biais duquel le conducteur peut modifier la répartition du couple en fonction du mode sélectionné.

Le bouton poussoir de démarrage enfoncé, le V6 s'ébroue dans une sonorité assez feutrée. On est loin du grondement sourd du V8, mais un petit coup de gaz remet tout de suite les pendules à l'heure : la quadruple sortie d'échappement ne lésine pas sur les graves, tandis que le léger sifflement du compresseur reste perceptible. Un véritable orchestre !

La commande de boîte manuelle est parfaitement guidée et l'étagement permet de tirer toute la quintessence attendue du V6 compressé. Et quelle quintessence ! Sans que cela soit perceptible en raison d'une réponse particulièrement linéaire, le 6 cylindres propulse la S4 à des vitesses inavouables, le tout dans un feulement étouffé juste comme il faut. Une fois l'autoroute abandonnée, les premiers virages mettent d'emblée en exergue l'action du différentiel sport. Grâce à lui, l'A4 se fait plus équilibrée, mais aussi plus vive et maniable.

Facturé en option, le nouveau différentiel sport vaut le détour : il accroît significativement l'efficacité et le plaisir de conduite de la S4. Un modèle qui, même en repassant au V6 suralimenté (au lieu du V8), n'a rien perdu en personnalité ni en performances, tout en réduisant notablement ses émissions de CO2.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1432 du 12 novembre 2008.

Dans cet article : Audi

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