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Innovation / Quelle autonomie pour la voiture électrique ?

La peur de la panne sèche ou de la batterie vide : voilà ce qui freine encore souvent l’achat d’une voiture électrique. À tort ou à raison ? Faisons le point.

La peur de la batterie vide ou de la panne sèche (ou « range anxiety ») est souvent l’un des freins lors de l’achat d’une voiture électrique. Or, en quelques années, les autonomies proposées par ces modèles ont considérablement progressé. Il est en effet loin le temps de la voiture électrique qui ne parcourait qu’une centaine de kilomètres en ayant chargé pendant toute la nuit. Aujourd’hui, elles roulent nettement plus loin et font le plein en une paire d’heures. Mais à condition aussi de comprendre les paramètres qui optimisent cette autonomie.

La capacité de la batterie

C’est évidemment le point central de la voiture électrique : sa réserve d’énergie. Aujourd’hui, on pourrait classifier l’automobile à batterie en 3 paliers : les « petites » voitures électriques à vocation plus urbaine, les « moyennes » qui peuvent s’aventurer hors des villes et envisager un parcours autoroutier et, enfin, les voitures électriques « longues distances », soit celles dont l’utilisation quotidienne est tout à fait envisageable pour les plus gros rouleurs. C’est évidemment la capacité du pack de batterie qui fait la différence : autour de 25–30 kWh, on peut tabler sur 150 à 180 km dépendant de la taille de voiture tandis qu’avec 40 à 50 kWh, le rayon d’action peut facilement dépasser les 250 km réels. Enfin, les plus gros modèles sont équipés de packs qui atteignent 100 kWh (et bientôt plus) de sorte que l’autonomie atteint les 300 à 350 km dans des conditions de trafic normales. De la capacité du pack dépendra naturellement aussi le prix de la voiture électrique sachant qu’il s’agit d’un des éléments les plus coûteux.

Le poids et l’aérodynamique

Comme pour les voitures thermiques, le poids et les caractéristiques aérodynamiques possèdent une influence déterminante sur la consommation énergétique, donc sur l’autonomie. Ainsi, une Renault Zoé par exemple est davantage taillée pour la ville et les grandes agglomérations urbaines et sa batterie s’épuisera plus rapidement sur autoroutes où son aérodynamique dégradera ses performances. Tout le contraire d’une Tesla Model 3 par exemple qui, bien qu’un peu plus lourde, s’avère mieux profilée pour la pratique des vitesses plus élevées typiques des grands axes.

L’efficacité énergétique des composants

Il va de soi que le choix de composants de qualité est absolument essentiel dans une voiture électrique. C’est le cas des pneus par exemple, mais aussi des moteurs. Il en existe plusieurs types pour les voitures électriques : à induction, à aimants permanents ou asynchrones. Le choix de l’un ou de l’autre aura aussi un impact sur la consommation, donc sur l’autonomie finale. Et avec une constante : ce qui est mieux est souvent aussi plus cher.

 

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