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Essai détaillé / Peugeot 308 GTi 270 ch : Sensations et plaisir

En bref

  • Mécanique

    La 308 GTI reprend grosso modo le bloc de feu le RCZ R : un 1.6 turbo à essence de 270 ch et 330 Nm. Il est couplé à une boite manuelle à 6 rapports associée à un différentiel autobloquant Torsen. De quoi sortir d’une courbe même très serrée tel un boulet de canon et de piquer un sprint en utilisant toute la plage de régime sans que le 1.6 ne témoigne du moindre signe de fatigue ; grisant ! Seul bémol, une commande de boite aux débattements trop longs, mais malgré tout précis et bien guidés.

  • Tenue de route

    Performante, la 308 GTI séduit particulièrement par sa vitesse de passage en courbe. Un grip exceptionnel qu’elle doit à son épure de suspension repensée mais aussi à ses excellents Michelin Pilot Super Sport montés en 19’’. Le train avant est tranchant et ne renvoie que de légères remontées de couple dans le volant. L’arrière privilégie quant à lui l’efficacité au caractère joueur. Les gros freins Alcon n’appellent à aucune critique : puissance, progressivité, endurance, tout y est.

  • Sécurité

    Si la GTI compte le même nombre d’airbags que les autres 308 (frontaux, latéraux AV et rideaux), elle n’a en revanche pas droit, même contre supplément, au Pack Driver Assistance comprenant le régulateur de vitesse actif, l’alerte de collision et le freinage automatique d’urgence en ville. Dommage car l’efficacité de ce dernier n’est plus à prouver. L’ESP est adapté en vue de correspondre au caractère sportif de l’engin et devient ici complètement déconnectable.

  • Confort

    Si la GTI procure un toucher de route assez ferme, elle conserve un bon compromis entre confort et efficacité. Les sièges baquets de cette version 270 ch procurent un parfait maintien. La finition intérieure est de bonne facture, tant dans le choix des matériaux que de l’assemblage. L’insonorisation est également excellente. Elle filtre les bruits aérodynamiques et de roulement tout en laissant passer le feulement du 1.6 qui se transforme en grondement en mode Sport.

  • Sens pratique

    Sportive, la 308 GTI reste une compacte agréable au quotidien grâce à ses 5 portes qui facilitent l’accès aux places arrière. L’habitabilité générale est correcte, sans plus. La banquette fractionnée (60/40) rabattable permet d’augmenter le volume de coffre de 420 à 1.228 l sans toutefois offrir un plancher plan. Hormis la commande du dégivrage et désembuage du pare-brise, toutes les autres sont reprises dans l’interface tactile. C’est joli, convivial, intuitif mais trop peu réactif.

  • Budget

    On ne saurait trop conseiller d’opter pour la version 270 ch, facturée 36.900 €, qui outre le surplus de puissance, comprend d’office le Torsen, des sièges baquets, des gros freinsBrembo et des pneus plus sportifs montés en 19’’. Pour 2.850 € de mieux, c’est donné et cela reste dans les prix de la concurrence. Seule la Mégane RS est vraiment moins chère (30.500 €) mais en fin de vie et uniquement disponible en 3 portes. Les autres, plus Premium, frôlent ou dépassent largement les 40.000 €…

Peugeot 308 GTi 270 ch : Sensations et plaisir
Conclusion / Peugeot 308 GTi 270 ch : Sensations et plaisir

Sans sa «Coupe-Franche», la 308 GTi apparaît «civilisée» comparée à certaines rivales plus exubérantes. Il n’en reste pas moins qu’elle est plus redoutable qu’elle ne paraît, chiffres de performances à l’appui, mais pas seulement. On prend énormément de plaisir à son petit volant. Son moteur sait tout faire: reprendre en souplesse ou pousser avec ardeur. Le Torsen se charge quant à lui de conserver la motricité et l’efficacité. Le châssis autorise des vitesses de passage en courbe ahurissantes, bien aidé par des pneumatiques «ultra» au grip exceptionnel, tandis que les freins Alcon sont mordants et semblent ne jamais se fatiguer. Bref, il n’y a que la commande de boîte aux grands débattements que l’on aimerait voir améliorée. Mais pour le reste, quelle homogénéité, quelle efficacité, cachées sous cette robe discrète, loin de l’effet Manga de certaines nipponnes!

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