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Premier essai / Renault Twizy

La mobilité urbaine de demain passe aujourd'hui par un engin bizarre, nommé Twizy. Électrique, biplace, au look sympa, vif et doté d'un gros capital de sympathie. Découverte...

La Twizy ne se range pas dans la catégorie des voitures et encore moins des scooters. Il s'agit aux yeux de la loi d'un quadricycle, décliné en une version 45 km/h accessible dès 16 ans et en version 80 km/h pour laquelle un permis de conduire B est obligatoire en Belgique. Avec seulement 2,34 m de... court, la Twizy est plus compacte de 1,35 m qu'une Twingo, la citadine historique de Renault, mais affiche encore 65 cm de moins qu'une Toyota iQ et même 35,5 de moins qu'une Smart, dont la version électrique pourrait être considérée à juste titre comme la rivale directe. Car la Twizy est un concept 100% électrique, mû par un moteur délivrant soit 5 soit 17 ch selon la version. L'autre originalité réside dans sa configuration à 2 places en tandem.

S'installer à bord s'avère très facile, à l'avant en tout cas. Ensuite, être assis au centre de l'habitacle procure une sensation curieuse, celle habituellement ressentie dans un kart. Contact, attendre un petit bîîîp, presser le bouton D, et c'est parti dans un élan à la vigueur inattendue, certainement de la part des automobilistes classiques attendant comme nous que le feu passe au vert. Il serait exagéré de parler d'accélération démentielle, évidemment, mais la vivacité de la Twizy lui permet de ne pas subir le trafic urbain et même, dans sa configuration «80» du moins, de s'aventurer sur les grands axes avec une relative aisance. Attention toutefois à l'autonomie, qui variera de 60 à 100 km environ selon le type de conduite, sportive ou anticipative.

Avec la Twizy, Renault se pose en précurseur, en «trendsetter», comme il l'avait fait en son temps avec les Espace, Twingo I et Scénic (curieux que les Avantime et Vel Satis ne soient pas mentionnées dans le discours officiel), et avoue du coup manquer de points de repères, notamment pour ce qui concerne les volumes de production des chaînes de Valladolid, où elle est produite. Difficile, en effet, de prédire l'accueil qui sera réservé à un engin ludique mais cohérent, relativement onéreux à l'achat, mais très économe à l'usage (environ 1 euros d'électricité par «plein» et 50 euros mensuels pour la location des batteries et l'assistance 24h/24 en cas de panne), même si, objectivement, on est obligé de lui reconnaître des qualités intrinsèques indéniables. Affaire à suivre, donc.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1519 du 21 mars 2012.

Dans cet article : Renault, Renault Twizy

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