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Premier essai / Mercedes CLC

Fort occupé par ailleurs à une refonte profonde du reste de sa gamme, Mercedes n'a pas consacré tous ses moyens à assurer le remplacement de sa Classe C Sportcoupé. Tout au plus lui a-t-il accordé un restylage, quelques évolutions dans l'habitacle et une

Mercedes est donc en train de renouveler toute sa gamme. Par ailleurs, la marque de Stuttgart s'apprête à faire ses débuts dans la catégorie des SUV compacts avec le GLK. Dans ce contexte, le remplacement pur et simple de la Classe C Sportcoupé ne constituait pas une priorité aux yeux des responsables de la marque. Ils lui ont préféré un rafraîchissement. Outre un nouveau nom, la CLC hérite d'une nouvelle calandre et de blocs optiques redessinés. A l'intérieur également, Mercedes a été chiche dans les changements: il s'en tient à de nouvelles incrustations et, au rayon des options, un système multimédia dont les informations sont stockées sur un disque dur et non plus sur un DVD. Pour couronner le tout, l'éventail des moteurs demeure quasi inchangé. Tout au plus relève-t-on l'arrivée d'un nouveau 200 Kompressor qui a gagné 20 ch et 10 Nm Tous les moteurs à essence sont ceux de la nouvelle Classe C, mais les Diesel ont une génération de retard, ce qui explique qu'en matière de puissance et de couple, ils restent nettement en retrait de ce que proposent les Classe C équivalentes.

Mercedes n'a pas touché au châssis, qui reste celui de l'ancienne Classe C. Il est toutefois possible de commander un pack Sport qui comprend des ressorts plus raides, un échappement et des sièges sport, des phares fumés et surtout la Direct Steering, direction à crémaillère à pas variable qui exerce un braquage plus direct à proximité des butées sans gêner par une vivacité excessive autour du point milieu. Lors de ce premier contact en Autriche, nous avons eu l'occasion de prendre en main une CLC dotée de ce pack Sport optionnel. Nous n'avons pas trouvé la position de conduite spécialement convaincante. Quant à la direction évoquée plus haut, elle ne se montre pas des plus informatives, tandis que la commande de la boîte 6 manuelle reste toujours un peu caoutchouteuse... Et puis, rançon agréable de son «grand» âge, la CLC ne se montre pas aussi obstinément sous-vireuse que certaines propulsions plus modernes, d'autant que le contrôle de stabilité autorise quelques frivolités à l'essieu arrière, qui accepte de dériver gentiment si l'on insiste un peu...

Non, la CLC n'est pas une nouvelle voiture. Il s'agit d'une remise à niveau du Sportcoupé bien connu, qui évolue légèrement sur les plans esthétiques et mécaniques. Les impressions de conduite sont dès lors familières et si quelques éléments trahissent son âge, on apprécie en revanche toujours son excellent confort.

Retrouvez l'essai complet dans le Moniteur automobile 1419 du 14 mai 2008 ou en .pdf (voir ci-dessous).

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