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Marché / La bonne affaire de la semaine : Toyota Celica (1982-1985)

Rédigé par Steven Appelmans le 25-05-2021

Chaque mardi, le Moniteur Automobile part à la recherche de la bonne affaire de la semaine. Des voitures ayant une histoire particulière aux berlines ayant écrit l'histoire, dans cette section, elles ont toutes leur scène. Aujourd'hui : la Toyota Celica de 1982 à 1985.

La troisième génération de la Toyota Celica n’a eu que trois ans pour s’imposer, avec un design de carrosserie qui, à l’époque, n’était pas perçu comme élégant, mais plutôt curieux. C’est un peu une voiture intermédiaire : pas de beauté intemporelle, pas de palmarès impressionnant en WRC et pas d’image de marque solide comme le roc. La génération TA60 de la Toyota Celica semble avoir été oubliée par tous. Et c’est exactement pour cela que c’est une voiture de sport intéressante à acquérir.

Pourtant, sur la place du marché, cette Toyota Celica a le vent en poupe. Là-bas, on pense que la TA60 pourrait devenir un classique. Nous la voyons comme une voiture de sport intéressante pour une journée sur circuit, une séance de drift ou un projet de tuning.

 À quoi faut-il faire attention ?

Les copies intactes sont rares. La question essentielle à se poser est d’en savoir plus sur les anciens propriétaires et ce qu’ils ont fait de leur Toyota Celica ? Une bonne dose de scepticisme est donc de rigueur. Maintenant, vous n’avez pas à vous inquiéter sur le plan mécanique, la Celica est aussi une vraie Toyota. En fait, seul le repos léthargique a pu nuire à l’intégrité de la petite sportive japonaise. Vérifiez donc bien chaque recoin, aussi soigneusement que possible, même derrière les tapis de laine et les plaques de protection en plastique.

Essayez de trouver une Toyota Celica avec un moteur de 2 litres. La version de base avec moteur 1,6 litre ne développe que 85 ch, ce qui est trop peu, même pour un coupé des années 80. La version Hatchback était la plus populaire, car elle avait la plus belle ligne. Mais il y avait aussi une deux portes avec une lunette arrière droite et une berline classique, ainsi bien sûr qu’une version décapotable de la Toyota Celica. Dans les trois cas, elle est équipée d’une banquette arrière qui ne la transforme pas en voiture familiale.

Combien cela coûte-t-il ?

Chaque inconvénient a son avantage. Comme cette Japonaise n’est pas une voiture très populaire, la Toyota Celica ne vous coûtera pas plus qu’une bonne affaire. Une brève recherche a permis de trouver quelques exemplaires belges en parfait état, dont le prix est inférieur à 10.000 euros. À moins que vous n’optiez pour le Saint Graal, la Toyota Celica Supra, avec son nez pointu et son plus gros moteur V6. Cela ajoutera quelques milliers à votre facture, si vous en trouvez un bon exemplaire. Conseil : allez jeter un coup d’œil aux États-Unis.

Existe-t-il une alternative intéressante ?

Avec une Nissan200 SX, on peut s’amuser davantage, mais les exemplaires préservés sont encore plus rares. Dans ce cas, nous préférons opter pour la Mazda RX-7. Ou économiser un peu plus pour s’offrir la quatrième génération de Toyota Celica, avec une légère préférence pour la GT-Four.

Journaliste AutoGids/AutoWereld

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