Dans le magazine Car, Jean-Marc Gale, le CEO de Lotus, passé sous giron chinois de Geely, a donné des indications sur le planning de la marque britannique. Pour la 1re fois depuis 2009, et l’Evora, deux tout nouveaux modèles arriveront dans la gamme. Ce sera des sportives en 2020. L’une d’elles sera une édition limitée destinée essentiellement aux virées sur circuit. Elle aura droit à une coque en fibre de carbone. L’autre se présentera plutôt comme entrée de gamme avec une évolution l’architecture actuelle en aluminium. Une « référence » en matière d’efficacité et de légèreté pour Jean-Marc Gales. Toutefois, en 2022, Lotus franchira un cap. Le catalogue proposera un SUV !
Efficacité
Les nouveaux modèles de Lotus resteront efficaces et aérodynamiques, nous promet-on. Mais surtout, elles seront plus pratiques. Il sera notamment plus simple d’y entrer et d’y sortir. Lotus pourra aussi compter sur les fournisseurs de Geely, notamment en matière de technologie. Ainsi, on pourrait même retrouver un moteur développé à partir d’un bloc Volvo. Mais pas question de céder à l’hybridation. Le CEO a été clair : pour être efficace, une sportive n’a besoin que d’un moteur. Qu’il soit thermique… ou électrique.
Recrutement
Les deux nouvelles sportives et le SUV poussent Lotus à recruter et à investir. Le constructeur ambitionne de passer à une production annuelle de 3000 véhicules en 2019, contre 1600 en 2017. Ce qui nécessite d’investir dans son usine : des « millions ». De plus, il faut renforcer les équipes. Actuellement, le staff compte actuellement 800 personnes. Il en faudrait 300 de plus avant la fin de cette année, dont 250 ingénieurs.
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