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Essai détaillé / SsangYong Torres 1.5 T-GDi 2WD 6A/T: Chic décontracté

Rédigé par Steven Appelmans le

Baroudeur, aventurier et subtilement chic: au niveau du style en tout cas, le Torres a des arguments. Reste à savoir dans quelle mesure c’est aussi le cas pour les autres facettes du dernier-né de SsangYong... Ou devons-nous plutôt dire le dernier-né de KG Mobility?

  • Avis Rédaction /20

Aucune surprise sous le capot. Le Torres reprend simplement le 1.5 T-GDi du Tivoli et du Korando. Avec les mêmes atouts et les mêmes bémols que sur ces autres modèles dotés du 4-cylindres maison. Prenons le verre à moitié plein: avec ses 163 ch et ses 280 Nm, ce bloc turbo à essence est suffisamment puissant pour emmener les 1,7 tonne de notre voiture d’essai. Mais ce moteur ne sera jamais dynamique ou sportif. Ce n’est d’ailleurs pas ce que recherche le public-cible. Ce qui est bien plus important, c’est le raffinement de ce moteur. Ce 4-cylindres est particulièrement civilisé et quasiment inaudible – à des régimes raisonnables. Et même quand on le pousse dans ses retranchements, cela reste acceptable. Un bon point donc pour l’isolation du compartiment moteur. 
Si vous désirez un peu plus de dynamisme, passez en mode Sport (ou utilisez les palettes au volant). La boîte automatique Aisin à six rapports restera un peu plus longtemps sur le rapport sélectionné. Tout comme le moteur, la boîte brille davantage par sa souplesse que sa réactivité. Une fois encore, on peut parfaitement se satisfaire du caractère axé sur le confort de cette mécanique. Par contre, les Coréens doivent nous expliquer pourquoi ils n’en ont pas fait de même pour la suspension. 
L’amortissement est pour le moins ferme, ce qui se ressent très fort sur les petites irrégularités. Cependant, il faut avouer que cette fermeté offre au Torres un comportement dynamique au-dessus de la moyenne. Il maintient avec brio la trajectoire en neutralisant le roulis et en offrant une communication correcte entre le train avant et la direction à assistance électrique. Avec aussi des étriers mordant les disques au cas où vous risqueriez de quitter la bonne voie.Mais vu que le moteur et la boîte incitent plutôt à la retenue, c’est une forme de talent dont vous profiterez sans doute assez rarement. Sauf, évidemment, si vous sortez régulièrement cette mécanique de sa zone de confort. À l’opposé, les bémols restent identiques, même en adoptant une conduite décontractée: au-delà de la fermeté de l’amortissement, il faut aussi se montrer assez prudent avec la pédale de frein.
À cet égard, ce n’est pas une mauvaise idée de délaisser les grandes jantes de l’exécution Sapphire pour les 17 pouces de l’Amber de base. Ces jantes sont en effet chaussées de pneus 235/60, avec des flancs plus hauts et donc un meilleur amortissement. Autre raison de se satisfaire de la version d’entrée de gamme (ou de la Quartz juste au-dessus): le Torres doté de la boîte manuelle peut tracter une remorque non freinée de 750 kg. Avec, comme ici, la boîte auto (seule possibilité pour les niveaux d’équipement supérieurs), la capacité de traction se limite à 500 kg. Dans le cas d’une remorque freinée, toutes les versions peuvent tracter 1.500 kg, quelle que soit la boîte.

Dans cet article : Ssangyong, Ssangyong Torres , KGM, KGM Torres

Journaliste AutoGids/AutoWereld

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