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Premier essai / Gamme Infiniti

Après Lexus (Toyota), c'est - enfin - le tour d'Infiniti, la marque de prestige de Renault-Nissan, de faire ses grands débuts sur notre marché. La clientèle visée est la même, mais l'approche n'est pas vraiment comparable.

Infiniti n'est pas totalement inconnu chez nous. Notamment parce que quelques distributeurs Nissan au nez fin se sont lancés chez nous dans l'importation officieuse d'Infiniti destinées, à l'origine, au marché US. Pour débarquer en Europe de l'Ouest, Infiniti n'a pas fait le détail et a retravaillé toute sa gamme US.

Pour l'heure, l'offre ne compte encore que 4 modèles : une berline et un coupé (série G), ainsi que deux SUV, l'un de taille moyenne, l'autre plus grand (série X). Le moteur «de base» (si l'on ose dire...) de la gamme Infiniti lancée chez nous est un V6 à essence de 3,7 litres. Il s'agit d'un moteur sportif, tout en alliage léger, qui délivre 320 ch à 7000 tr/min pour un couple maxi de 360 Nm obtenu au régime plutôt élevé de 5200 tr/min. Le grand FX est le seul à pouvoir disposer d'un autre moteur, un tout nouveau V8 de 5 litres, à la distribution variable analogue à celle du V6 3.7. Ce V8 est annoncé pour 390 ch à 6500 tr/min, alors que son couple maxi atteint 500 Nm à 4400 tr/min. Et le Diesel, si important chez nous pour des véhicules de ce segment ? Les Infiniti devront s'en passer jusqu'en 2010, quand arrivera le tout nouveau V6 turbo Diesel développé en collaboration avec Renault

C'est dans les Alpes de Haute-Provence que nous avons pu faire connaissance avec ces quatre Infiniti. La première chose qui frappe, c'est leur ligne, avec une mention spéciale pour le FX, qui vient de subir un restylage. Si l'atmosphère intérieure est indéniablement américaine, les habitacles sont soigneusement finis et les modèles de base proposent un équipement déjà très complet. Dès que l'on s'installe à bord, on goûte les très bons sièges sport. Dès le coup de démarreur, la sonorité mécanique séduit. Même le petit V6 distille une musique agréable aux tympans. Sourd à bas régime, le son devient de plus en plus rauque au fur et à mesure que le régime augmente. Quant au son du V8, il est encore plus réussi!

S'il est indéniable que Lexus, lorsqu'il s'est lancé en Europe, tentait surtout de séduire une clientèle portée sur les Mercedes, on peut affirmer qu'Infiniti cherche à convaincre un client qui serait plutôt celui de BMW. D'ailleurs, les impressions éprouvées au volant d'une Infiniti sont plus proches de celles ressenties aux commandes d'une Béhème que d'une fille de Stuttgart. C'est un choix qui se défend parfaitement et ceux qui désirent une voiture prestigieuse de fabrication japonaise ont désormais le choix. On ne peut que s'en réjouir.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1431 du 29 octobre 2008.

Dans cet article : Infiniti

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