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Partner Content / Les huiles de boîte pour des pignons au top - En collaboration avec Liqui Moly

Encore plus méconnues que les huiles pour moteur, les huiles de boîte, bien que soumises à des contraintes tout à fait différentes, jouent un rôle tout aussi important dans le bon fonctionnement d’un véhicule.

Liqui Moly

Tâchons de rester simples: comme pour une huile de moteur, le but premier d’une huile de boîte va être de limiter l’usure des organes métalliques en contact. Mais c’est au niveau du type de contrainte que se situe la principale différence. Car si une huile de moteur est surtout soumise à du frottement et de la pression sans oublier une certaine « pollution » par des hydrocarbures imbrûlés, dans une boîte de vitesses, c’est surtout de cisaillement qu’il est question. Cela étant, toutes deux ont aussi des points communs. Ainsi, tout comme l’huile de moteur, l’huile de boîte a également pour missions d’évacuer l’énergie calorifique (certaines boîtes possèdent d’ailleurs leur propre radiateur), de protéger les éléments de la corrosion, et, pour des raisons environnementales (réduction de la consommation et des émissions de CO2), de limiter les pertes par frictions.

MÉCANIQUE OU AUTOMATIQUE

Afin de garantir un fonctionne- ment sans dysfonctionnement, les boîtes de vitesses modernes nécessitent un lubrifiant à hautes performances. Ici aussi, comme on l’a déjà vu pour les huiles de lubrification des moteurs, le type et la quantité d’additifs dans le lubrifiant ont une influence significative sur divers paramètres. Citons no- tamment la rapidité et la qualité (le ressenti) des changements de rapports, la réduction des frictions mais aussi et surtout la protection contre l’usure. On comprend mieux pourquoi il est si important que les classifi- cations ou les approbations données par les constructeurs soient respectées lors d’une vidange.

Les huiles de boîte de vitesses sont de même nature (miné- rale ou synthétique) que les huiles pour moteurs. Ce qui les distingue des huiles de moteur, c’est essentiellement un cocktail d’additifs différent (il y a par exemple plus d’additifs « extrême pression » dans une huile de boîte) et une viscosité plus élevée. Il existe deux grandes sortes d’huiles de boîte de vitesses : les huiles pour boîte mécanique (manuelle ou robo- tisée) et les huiles pour boîte automatique. Attention, elles sont incompatibles entre elles.

DU NEUF CHEZ LIQUI MOLY

Dans le domaine des huiles de moteur, les additifs jouent un rôle de plus en plus important. Cette évolution est similaire en ce qui concerne les huiles de boîte de vitesses. Les nouvelles huiles MTF (Manual Transmis- sion Fluid) sont des lubrifiants de haute qualité présentant un faible taux de viscosité. Plus les huiles sont fluides, plus les pertes par frottement et la consommation de carburant sont faibles. « Les huiles de boîte de vitesses traditionnelles ont fait leur temps », explique Oliver Kuhn, directeur adjoint du laboratoire d’huiles de Liqui Moly. Il ajoute : « La compabilité matérielle est également très importante. Les nouveaux maté- riaux présents dans les boîtes de vitesses nécessitent de nouveaux mélanges d’additifs. »

Les huiles TOP TEC MTF 5200 75W-80 et TOP TEC MTF 5100 75W sont les derniers assor- timents d’huiles de boîte de vitesses de l’expert allemand. La TOP TEC MTF 5200 75W-80 a été développée pour une utilisation dans les boîtes de vitesses boîtepont, manuelles ou de transfert, tandis que la TOP TEC MTF 5100 75W est spécialement conçue pour les boîtes de vitesses manuelles et robotisées à double embrayage. Dans toutes les conditions d’utilisation, ces deux huiles garantissent un excellent confort de transmission, une boîte de vitesses propre et une longue durée de vie de l’huile.

VIDANGER OU PAS ?

Nombreux sont aujourd’hui les constructeurs à affirmer que les boîtes de vitesses sont lubrifiées à vie et qu’il est inutile de les vidanger. La réalité est quelque peu différente. On l’a vu, les contraintes subies par l’huile de boîte ne sont pas les mêmes que celles de l’huile de moteur. C’est le cas aussi entre une huile de boîte mécanique et une huile de boîte automatique. Pour une boîte auto, qui intègre la fonction d’embrayage et des composants électroniques allergiques à toute présence d’eau, la vidange, même si elle n’est pas toujours préconisée par le fabricant, est recomman- dée tous les 60.000 km ou tous les 2 ans. En effet, les problèmes de fiabilité ou de perte d’agré- ment (apparition d’à-coups) rencontrés avec ce genre de transmission sont souvent dus à une huile « fatiguée ». Attention, il ne s’agit pas d’une opération banale. Celle-ci doit être confiée à un technicien connaissant la procédure, notamment concernant le niveau.

Pour les boîtes mécaniques, cette vidange est tout aussi utile pour prolonger la durée de vie de la boîte de vitesses et conserver son agrément. Idéa- lement, elle devrait s’effectuer une première fois après 30.000 km car l’huile s’est chargée de limaille avec le rodage, et 5 ou 6 ans après car elle s’oxyde avec le temps. Pour une traction, cette vidange peut généralement attendre le remplacement d’un ou des cardans qui intervient la plupart du temps autour de 150.000 km mais pour une propulsion, et à fortiori un Diesel dont le couple sollicite davantage la boîte, elle pourra s’effectuer tous les 100.000 km. Comme pour les huiles de moteur, il est impératif de respecter les préconisations du constructeur quant au type d’huile à utiliser.

QUAND ÇA COINCE !

C’est souvent le cas avec les voitures plus âgées : les rapports passent de plus en plus difficilement. Avant de songer à une réparation mécanique qui risque de s’avérer très coûteuse, une autre solution consiste à recourir à l’additif pour huile de boîte de vitesses développé par Liqui Moly. Celui-ci doit simplement être ajouté à l’huile de transmission. Grâce au lubrifiant solide MoS2, qui compense les inégalités des surfaces métalliques et réduit l’usure, il réduit égale- ment la charge thermique dans la boîte de vitesses. Mais attention ! Si dans de nombreux cas l’additif peut résoudre le problème, en réduire les symptômes ou en ralentir considérablement la progression, il ne constitue en aucun cas une potion magique capable de faire disparaître les gros défauts mécaniques. Son grand avantage réside dans son application simple et économique. Cela permet de se passer d’un diagnostic complexe et coûteux et d’utiliser l’additif sans grand risque ou même de manière préventive. Si le problème est résolu, l’affaire est close. S’il persiste, vous n’avez presque rien perdu car le coût, en temps et en argent, est minime.

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