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Premier essai / Mercedes G

Non, le Mercedes G n'a pas été crucifié sur le gibet de l'écologie pharisienne ! À 33 ans, repoudré et acquis aux derniers gadgets, il goûte à une résurrection dorée, planqué chez les nouveaux riches.

Contre toute attente, le plus tout terrain des 4x4 Mercedes poursuit sa carrière, un peu comme s'il se mettait hors du temps avec la même facilité qu'il quitte la route pour se complaire dans un domaine où il excelle : l'off-road. Nous avons redécouvert le G avec une nouvelle calandre et des optiques modernes, en ce comprises les petites barrettes d'éclairage diurne à diodes. Des retouches minimalistes qui lui vont très bien. Ses contours anguleux, ses vitrages droits de fourgon cellulaire et ses balais d'essuie-glace d'un autre âge sont intacts. C'est comme ça qu'on l'aime !

Le contrôle de comportement (ESP) intègre désormais une fonction - primordiale pour le cheval de trait qu'est le G - de stabilisation de la remorque mais, aussi, un dispositif de retenue en côte (Hold). Le bon vieux contacteur reste de mise pour lancer un V6 turbo Diesel de 3 litres (le G350 CDI BlueTEC de 211 ch et 540 Nm, équipé d'un filtre AdBlue) ou un V8 atmosphérique à essence de 5,5 litres (G500, 387 ch, 530 Nm) dont les borborygmes gouleyants nous ôtent l'envie de dresser le moindre commentaire sur son appétit. La boîte automatique 7G-Tronic Plus - montée sur tous les G «civils», en version SpeedShift sur l'AMG - lui donne une certaine agilité, tout comme les réglages de suspension revus. Le confort de marche atteint un nouveau seuil dans l'échelle du filtrage et du silence.

Nous avons renoué avec les sensations mécaniques consistantes du G sur des lacets de montagne parfaitement asphaltés. Mercedes ne nous a laissé jongler avec les 3 blocages de différentiels qu'au volant d'un G «professional» équipé de l'ancienne boîte automatique 5, qui n'a pas eu besoin du restylage pour rester champion de la pente gravissable (100%). Preuve que le vieux précieux est trop beau pour patouiller dans la boue. Même lorsque le sol est suffisamment empierré pour éviter de s'y laisser prendre par les essieux.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1525 du 13 juin 2012.

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