Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Aucun compte Facebook n'est lié au site, veuillez vous inscrire.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Premier essai / Lamborghini Gallardo LP570-4 Superleggera

Quelques centimètres carrés de carbone, quelques kilos de moins, quelques chevaux de plus et un V10 aux ressources infinies : bienvenue à bord de la Gallardo Superleggera.

Prix
NC

Qu'on se le dise : officiellement, de l'aveu même de son patron, la course à la puissance chez Lamborghini, c'est fini. Place dorénavant à la quête éperdue de la réduction de poids. Quoi qu'il en soit, cette Gallardo light est annoncée comme la Lamborghini la plus légère de l'histoire (récente ?), avec un poids à vide annoncé de 1.340 kg, soit encore 40 de moins que la Balboni, pourtant dépourvue de transmission intégrale. Pour arriver à ce résultat, cette version allégée fait un appel abondant à la fibre de carbone.

Première impression : le carbone est un très bon conducteur pour le bruit et les vibrations. Dès la mise en route du V10 de 570 ch, l'habitacle gronde et vibre comme celui d'une voiture de course. Ensuite, si le V10 se montre discret à faible régime, il devient nettement plus présent à haut régime, baignant l'habitacle de sa sonorité évocatrice qui évolue vers le feulement à l'approche de la zone rouge. D'un point de vue dynamique, il paraît aussi que, grâce à un nouveau bouclier et un nouveau diffuseur, la portance négative est augmentée de 50% par rapport à la version de route. Difficile, néanmoins, de se faire une idée précise. Ce qui est sûr, c'est que la stabilité à haute vitesse, en ligne droite ou en courbe, est à toute épreuve, sauf à celle des changements de rapports de la boîte e-gear, qui déstabilisent toujours un peu l'assiette de la voiture. Visiblement, la Superleggera n'aime pas non plus le «bosselé», où elle a tendance à pomper sur ses appuis en élargissant la trajectoire.

À 455 euros/kg (gagné), ça fait cher le cm² de carbone. La Superleggera n'est en effet pas à proprement parler une «bonne» affaire sur le plan financier. Sauf pour Lamborghini, puisqu'il se trouvera toujours bien quelques centaines d'amateurs de par le monde pour s'acquitter d'un supplément de 32.000 euros par rapport à une LP560-4 déjà pas vraiment traîne-savates... Passé ces considérations bassement matérielles, admettons que la Superleggera est une formidable supercar diablement gratifiante.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1470 du 28 avril 2010.

Dans cet article : Lamborghini, Lamborghini Gallardo

Essais

Nos essais

Les concurrentes

Stocks

Voitures de stocks à la une

Occasions

Voitures d'occasions à la une