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Premier essai / Toyota Urban Cruiser

Quand Toyota se la joue «Mini» polyvalente, cela donne une Urban Cruiser à l'allure branchée et au prix pas donné. À l'assaut de la jungle urbaine?

Prix
NC

Toyota se lance dans l'aventure - urbaine - avec une Urban Cruiser dont le nom fait le lien entre deux mondes qui n'ont a priori rien à voir l'un avec l'autre. Il en résulte un véhicule de dimensions relativement compactes : 3,93 m de long mais relativement large (1,73 m) et haut, avec 1,52 m, voire 1,54 cm en version 4x4. Dans cette dernière, du fait de la présence du pont et d'arbres de roues arrière, le volume du coffre régresse de 314 à 305 l. En version 4WD, l'Urban Cruiser perd aussi la banquette coulissante, si pratique. Mais elle reste fractionnée 60/40 avec des parties de dossiers inclinables séparément.

L'Urban Cruiser débarque sur le marché avec un choix de deux moteurs, l'un à essence, l'autre Diesel. Le premier est le tout nouveau 4 cylindres 1.33 «Dual VVT-i» de 101 ch et 132 Nm. Ce nouveau bloc est associé à une fonction Stop&Start. Le Diesel est pour sa part bien connu. Il s'agit du 1.4 D-4D de 90 ch vu par ailleurs dans nombre de modèles de la marque. En essence comme en Diesel, les moteurs s'accouplent exclusivement à une boîte manuelle à 6 rapports, toute unité automatique étant exclue. Pour un véhicule à vocation si ouvertement citadine, avouons que c'est un peu bizarre.

Dans le même ordre d'idées, les évolutions en ville se voient quelque peu pénalisées par la relative faiblesse des surfaces vitrées, dégageant une visibilité périphérique quelconque. Enfin, la position de conduite pâtit d'une implantation un rien trop basse du volant. L'intérieur semble par ailleurs moins original que l'extérieur et le choix de certains matériaux est assez éloigné des standards auxquels nous avait habitués Toyota jusqu'ici.

Près de 18.000 euros en essence et même près de 20.000 euros pour le moins cher des Diesel, ça commence à faire beaucoup pour un véhicule si compact. Surtout que l'Urban Cruiser ne peut prétendre à la moindre remise gouvernementale, ses rejets de CO2 dépassant le seuil fatidique des 115 g/km. Voilà qui le réserve de facto à quelques citadins… branchés.

Dans cet article : Toyota, Toyota Urban Cruiser

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