Essais courts
SsangYong Korando 1.6 e-XDi A : doux mais gourmand

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L'histoire de SsangYong a commencé et revient à la «jeep». Pas étonnant que sa production fut et demeure toujours axée sur les 4x4, les SUV, les pick-up et assimilés. Même lorsqu'il s'agit d'un minivan tel que le Rodius. Ne partage-t- il pas les mêmes fondements que le Rexton et l'Actyon Sport (pick-up)? En clair, le principe architectural de base repose sur un châssis à caissons et traverses, un groupe motopropulseur implanté longitudinalement, un arbre de transmission entraînant les roues arrière et, éventuellement, un pont et des roues avant crabotables. Du côté des suspensions, train avant à triangles superposés, mais pas question de pont arrière rigide: avec un essieu multibras, la marque coréenne cultive un certain degré de sophistication. Si l'on s'en tient à la plateforme, les modèles se distinguent les uns des autres par la longueur de l'empattement et, dans une moindre mesure, la garde au sol. Conçu autour d'un moteur transversal et d'une conformation de traction, le Korando récemment restylé est seul à échapper à la règle. Le constructeur sème un peu la confusion sur son propre marché, puisque le nouveau Rodius est baptisé Korando Turismo en Corée...
Dans cet article : Ssangyong, Ssangyong Rodius