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Premier essai / Porsche Panamera

Rêve de Ferry Porsche devenu réalité posthume, la Panamera transcende la mutation d'une 911 en limousine. Elle décloisonne les catégories des 4 portes de prestige.

Prix
NC

La première berline 4 portes de l'histoire de Porsche part d'une page blanche. Premier constat: les portières sont retenues par des vérins et non des charnières crantées; ce qui permet de les manipuler près d'un obstacle et de les y maintenir sans risque de contact soudain. Assis plus près du plancher que dans la moyenne des grandes berlines de luxe, ces quatre occupants disposent d'une habitabilité étonnante. La Panamera ose, en préférant le hayon au couvercle séparé. Cet attribut, atypique à ce niveau de gamme, se soulève au-dessus d'un coffre généreux, fort bien aménagé.

Le contact à gauche est familier des porschistes. La clé électronique ne les dispense pas de l'enfoncer dans son support ni de donner un quart de tour à droite pour lancer le V8. La puissance est là, abondante: 400 ch pour les S et 4S, 500 ch pour la (bi)Turbo. À la - relative - légèreté, ajoutons la réelle sobriété des V8 à injection directe, non sans profiter en ville du stop & start indissociable de l'infaillible boîte robotisée à double embrayage PDK.

En mouvement, la Panamera fait oublier ses imposantes dimensions. Elle se conduit comme une vraie Porsche. Seul bémol: nous avons trouvé la Servotronic (option) trop assistée. À basse vitesse en ligne droite, la suspension à air et les barres antiroulis actives se relâchent en mode normal, donnant l'impression que la Panamera en fait un peu trop, se déhanchant presque lascivement sur un revêtement à peine ondoyant. C'est vrai qu'à l'inverse de la 911, elle doit plaire autant au client chinois qu'à nous, Occidentaux vroum-vroum.

Dans cet article : Porsche, Porsche Panamera

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