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Premier essai / Opel Insignia OPC

Toujours au programme, l’OPC profite du restylage de l’Insignia, mais nous revient avec un V6 turbo de 325 ch inchangé à 251 g/km de CO2… Ou quand se faire plaisir au volant d’une super-Opel vire à l’irrévérence.

Prix
NC
Une chose à la fois! Opel a bien revu à la baisse les grammages CO2 des Insignia qui se vendent le mieux: les moins puissantes, celles qui sont équipées de moteurs 4 cylindres raisonnables et de boîtes manuelles que l’on peut allonger à l’envi, sur lesquelles adapter un stop&start reste facile et peu coûteux. Ce n’est pas le cas des versions à boîte automatique (toutes dotées de la même unité Aisin AW à 6 rapports), surtout les plus puissantes – que nous venons d’ailleurs de tester pour vous dans le présent numéro. A peine sorti des années noires (2009-2011), le constructeur ne peut entreprendre de front toutes les mises à jour qui l’attendent, et celles qui visent la réduction des émissions n’est pas des moindres !
Les marques de prestige, dont le fonds de commerce est le luxe mais aussi les gros moteurs et la puissance qui va avec, se sont donné les moyens de réagir parce que c’était plus vital pour elles. Ainsi, Audi, BMW et Mercedes sont bien évidemment en mesure de proposer des modèles de 300 ch – comparables à l’OPC – qui rejettent moins de 200 g/km de CO2. Sans même abandonner les 6 cylindres (atmosphériques ou suralimentés). Pour enfoncer le clou, ajoutons que certains de leurs V8 émettent moins de CO2 que l’OPC… La recette vient de transmissions, de périphériques et de systèmes de gestion plus évolués qui permettent d’abaisser les consommations (réelles, mais aussi théoriques, tant il est vrai que les cycle-tests sont des vues de l’esprit depuis qu’ils cumulent tous les trucs pour économiser l’énergie).
Notre relevé moyen du présent essai de l’OPC automatique, lui, est on ne peut plus concret (13,7 l/100 km). Les valeurs des cycles-tests qui la concernent sont tout aussi réalistes: 16,1/7,5/10,7 pour les parcours urbain/extra-urbain/mixte. Aujourd’hui, il faut se lever tôt pour trouver des chiffres comparables dans cette fourchette de puissance. Une Nissan 370Z, qui n’est pas non plus un exemple de frugalité en carburant, fait 15,3/7,8/10,5 et 245 g/km. Cela dit, mal secondé par des périphériques dépassés, le 2.8 litres V6 turbo de l’Insignia n’en demeure pas moins une perle de mécanique, finement préparée par le département de tuning de Rüsselsheim, Opel Performance Center.
Une chose à la fois! Opel a bien revu à la baisse les grammages CO2 des Insignia qui se vendent le mieux: les moins puissantes, celles qui sont équipées de moteurs 4 cylindres raisonnables et de boîtes manuelles que l’on peut allonger à l’envi, sur lesquelles adapter un stop&start reste facile et peu coûteux. Ce n’est pas le cas des versions à boîte automatique (toutes dotées de la même unité Aisin AW à 6 rapports), surtout les plus puissantes – que nous venons d’ailleurs de tester pour vous dans le présent numéro. A peine sorti des années noires (2009-2011), le constructeur ne peut entreprendre de front toutes les mises à jour qui l’attendent, et celles qui visent la réduction des émissions n’est pas des moindres !
Les marques de prestige, dont le fonds de commerce est le luxe mais aussi les gros moteurs et la puissance qui va avec, se sont donné les moyens de réagir parce que c’était plus vital pour elles. Ainsi, Audi, BMW et Mercedes sont bien évidemment en mesure de proposer des modèles de 300 ch – comparables à l’OPC – qui rejettent moins de 200 g/km de CO2. Sans même abandonner les 6 cylindres (atmosphériques ou suralimentés). Pour enfoncer le clou, ajoutons que certains de leurs V8 émettent moins de CO2 que l’OPC… La recette vient de transmissions, de périphériques et de systèmes de gestion plus évolués qui permettent d’abaisser les consommations (réelles, mais aussi théoriques, tant il est vrai que les cycle-tests sont des vues de l’esprit depuis qu’ils cumulent tous les trucs pour économiser l’énergie).
Notre relevé moyen du présent essai de l’OPC automatique, lui, est on ne peut plus concret (13,7 l/100 km). Les valeurs des cycles-tests qui la concernent sont tout aussi réalistes: 16,1/7,5/10,7 pour les parcours urbain/extra-urbain/mixte. Aujourd’hui, il faut se lever tôt pour trouver des chiffres comparables dans cette fourchette de puissance. Une Nissan 370Z, qui n’est pas non plus un exemple de frugalité en carburant, fait 15,3/7,8/10,5 et 245 g/km. Cela dit, mal secondé par des périphériques dépassés, le 2.8 litres V6 turbo de l’Insignia n’en demeure pas moins une perle de mécanique, finement préparée par le département de tuning de Rüsselsheim, Opel Performance Center.
 

Dans cet article : Opel, Opel Insignia

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