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Premier essai / Mercedes C Coupé 63 AMG

Le coupé Classe C est la dernière Mercedes qui embarque le gargantuesque 6.2 V8 AMG. La bande son nous donne toujours autant de frissons...

Prix
NC

C'est probablement un futur collector : le coupé Classe C est le dernier nouveau modèle de la marque équipé du caractériel et mélodieux 6.2 V8 AMG atmosphérique. Le constructeur étoilé l'associe désormais à la boîte automatique Speedshift MCT-7 (comme dans la berline), qui a troqué son convertisseur de couple contre un embrayage multidisque, plus réactif. Outre un dynamisme de conduite accru, cette boîte contribue à abaisser la consommation : la moyenne normalisée chute de 13,4 à 12,0 l/100 km.

Une pression sur le bouton «Start» et le big block se réveille dans un râle singulier. Certes, il n'est plus tout jeune, ce V8 : il chante en effet sous les capots étoilés depuis 2006. Mais, entièrement développé par AMG, ce moulin a toujours flanqué la chair de poule. Et l'émotion reste intacte. Ce moteur gave ses 8 cylindres sans turbo et donc avec linéarité. Et il a le son polymorphe : du grave grassouillet à bas régime, à l'aigu métallique dans le haut de compte-tours.

Au démarrage, la fonction Race Start vous catapulte sans trop laisser de gomme sur la route. En action, cette AMG mord la route à fleur de pneus, posée sur amortissement (non piloté) plutôt... ferme. Ce coupé reprend les réglages de châssis de la berline AMG et affiche le même poids. Globalement bien équilibré, ce nouveau modèle profite de commandes sensitives qui permettent de bien sentir la bête. Mais celle-ci affiche toujours un caractère assez brutal à la limite. Le train arrière est vite débordé et les pneus s'enfument facilement. Un sacré tempérament !

À l'heure où la chasse au CO2 est lancée, ce coupé fait rugir son énorme V8 à tout va. Si ce moteur est toujours en vie, c'est grâce à la greffe de la boîte MCT-7, qui tempère (légèrement...) son penchant naturel pour le carburant. Ce modèle n'est pas certes le coupé sportif le plus efficace ni le plus civique, mais question personnalité, il ne craint pas grand monde...

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