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Premier essai / Lotus Elise S Club Racer

« Club Racer » c'est le régime minceur poussé à son paroxysme, vu par Lotus. De quoi transformer l'Elise en une vraie pistarde ou simple opportunité d'un nouveau «coût» marketing ? À moins que ce ne soit sa dernière révérence... ?

L'Elise s'enrichit d'une nouvelle édition «Club Racer», une version allégée du petit roadster d'entrée de gamme. Avec elle, c'est le plaisir de conduire réduit à sa plus simple expression. Des sensations qu'on ne trouve nulle part ailleurs ou presque. De la mécanique pure bâtie autour d'une seule philosophie: Light is right. Avec l'Elise (S) Club Racer, Lotus pousse le vice au gramme près ! Si Lotus est attentif au poids de ses voitures, la sécurité ne pèse pas bien lourd dans ses barquettes en aluminium. C'est que l'artisan britannique évite tout superflu, tout en se conformant, bien sûr, aux prescrits légaux. En plus de l'ABS obligatoire, l'Elise reçoit un contrôle de stabilité et de traction baptisé Dynamic Performance Management. Un garde-fou bien utile en conditions d'adhérence précaires. Mais que les sportifs se rassurent: le DPM prévoit un mode Sport qui laisse déjà suffisamment de latitude et qui peut être totalement déconnecté.

Son moteur à 4 cylindres est disposé transversalement, juste devant l'essieu arrière. Cette configuration favorise la répartition des masses entre essieu, même si l'Elise a toujours eu le train arrière un peu lourd (38/62). Déchargé, le train avant apparaît léger en mouvement, malgré l'absence de direction assistée. C'est tout profit pour les sensations de conduite. En Elise, il existe une véritable communion entre la route, la voiture et son pilote. Cette symbiose ne fait pas de l'Elise un tape-cul insupportable. L'adhérence offerte par les excellents pneus de série Yokohama Advan Neova est d'ailleurs largement sous-exploitée aux vitesses légales sur la voie publique. Mais il faut bien ça pour supporter les caprices du 1.8 compressé. Car s'il fait preuve d'une belle souplesse et d'une remarquable élasticité lorsqu'il est emmené sur un filet de gaz, il suffit d'un frôlement d'orteil pour faire entrer son compresseur en action.

Rouler en Elise Club Racer, c'est chercher à se distinguer dans une communauté où l'on ne fait déjà rien comme les autres. Car rouler en Elise, c'est déjà considérer la voiture sportive autrement que par la puissance de son moteur. De là à dire que ces quelques kilos épargnés permettent d'améliorer les performances pures, il y a de la marge. Il faudrait pour cela que le pilote suive le même régime draconien que sa monture... Ce qui risque d'en refroidir plus d'un! D'un autre côté, cette série spéciale rend l'Elise légèrement plus accessible. Mais quand on est prêt à débourser près de 50.000 euros pour un jouet pur fun, on n'est plus à quelques euros près... L'important, c'est de se faire plaisir !

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1572 du 2 avril 2014.

Dans cet article : Lotus

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