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Premier essai / Ferrari FF

Soucieux de rendre ses voitures toujours plus utilisables au quotidien, Ferrari lance la FF, un break 4 places, 4 roues motrices, avec hayon et banquette rabattable ! Heureusement, on parle encore de V12...

Prix
NC

« FF », pour Ferrari Four, donc : 4 places, 4 roues motrices. La FF est le premier «break» Ferrari. Mais un break de classe ! Doté d'un vrai coffre de 450 l et de dossiers rabattables pour dégager un plancher de chargement plan et un volume de 800 l. Comme pour toute Ferrari qui se respecte, il faut citer le moteur. Il s'agit du premier V12 à injection directe séquencée (200 bars), de surcroît doté d'un stop&start. Une fonction bien castratrice quand on a pris goût à la sonorité de ce V12 qui crache ses 660 ch à travers un collecteur d'échappement hydroformé, une technologie reprise de la 599 GTO.

Entendre les 7 rapports qui s'égrènent dans une poussée continue sans rupture de charge grâce à la boîte à double embrayage, est une sensation empreinte d'une efficacité telle qu'elle n'a sans doute pas d'équivalent dans l'histoire de la marque. Grâce à la répartition en continu du couple moteur sur chacune des 4 roues via le PTU et le E-Diff et à l'efficacité de l'amortissement piloté électromagnétique maîtrisant parfaitement les mouvements de caisse parasites, jamais on n'a l'impression de conduire un «break» de près de 2 tonnes, sauf... au freinage. Car malgré le recours à d'énormes disques en carbone-céramique de série, une suite de ralentissements violents rapprochés se traduit par des distances de freinage s'allongeant inexorablement.

Avec sa ligne atypique, la FF se démarque de la plupart de ses rares concurrentes. Une manière de faire passer le message qu'elle serait la 4 places la plus puissante au monde. Une puissance du reste bienvenue pour contrer les effets néfastes d'un poids qui frise les 2 tonnes tous pleins faits et conducteur à bord. Cela dit, il faut relativiser; c'est ce que pesait une Scaglietti, moins habitable, dépourvue de coffre et de transmission intégrale. Grâce en particulier à cette dernière, la FF peut du coup se prévaloir d'une sportivité et d'un niveau de performances dignes des plus belles réalisations du Cheval cabré.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1496 du 27 avril 2011.

Dans cet article : Ferrari, Ferrari FF

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