Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Aucun compte Facebook n'est lié au site, veuillez vous inscrire.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Premier essai / BMW Série 3 Touring

L'intérêt d'une BMW Série 3 Touring a toujours résidé davantage dans son allure différente que dans sa capacité à engouffrer du volume. Cette fois, la nouvelle génération soigne aussi le contenu.

Toutes les générations de Série 3 Touring affichaient jusqu'ici un volume de chargement plus faible que celui d'une berline. La dernière génération reconsidère cet aspect fondamental. Au contraire des concurrentes au dossier de banquette rabattable en deux parties asymétriques (le traditionnel 40/60), la BMW propose un élément en trois parties (40/20/40), encore plus pratique. De plus, lorsque le dossier est rabattu, l'utilisateur dispose d'une surface bien plane. Rajoutez un grand hayon muni d'une ouverture séparée de la lunette arrière et une ouverture/fermeture électrique de cette porte et vous constatez que le plaisir de conduire si cher à BMW ne se paie plus d'un coffre exigu.

Et, ce qui ne gâche rien, ce gain en aspects pratiques est enrobé d'un design agréable et homogène. Pour cette première prise en main, BMW nous réservait exclusivement des 328i équipées de la boîte automatique à 8 rapports (option). De plus, nos véhicules d'essai disposaient de l'onéreuse (donc très peu répandue) suspension adaptative, en conséquence de quoi nous rentrons de Munich avec des impressions peu pertinentes pour la majorité des futurs acheteurs...! Aucune influence du poids supplémentaire sur le train arrière ou de la rigidité structurelle moindre d'un break n'est à signaler.

La nouvelle BMW Série 3 Touring répond au cahier des charges d'un vrai break : offrir beaucoup d'espace de chargement et une modularité intelligente. Et, comme de coutume, BMW assure aussi le volet «plaisir de conduire». Bref, les ingrédients sont réunis pour une nouvelle belle carrière.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1528 du 25 juillet 2012.

Dans cet article : BMW, BMW Série 3

Essais

Nos essais

Les concurrentes

Stocks

Voitures de stocks à la une

Occasions

Voitures d'occasions à la une