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Premier essai / BMW Série 7

Plus classique que sa devancière sur le plan du style, la cinquième génération de BMW Série 7 cache néanmoins quelques innovations techniques marquantes : 4 roues directrices et, entre autres, un impressionnant arsenal de caméras.

Plus élancée, la Série 7 est aussi plus légère de 55 kg à moteur et équipement égaux, grâce notamment à ses capot, portes et pavillon en aluminium. La liste d'équipement proposée est, comme il se doit, pléthorique. Simplifiée grâce à l'ajout de boutons d'accès direct aux fonctions principales, l'interface iDrive permettra par exemple, dans les mois qui viennent, de profiter d'un accès Internet (à l'arrêt seulement pour les passagers avant) via le réseau 3G. Cela dit, c'est du côté des aides à la conduite que la Série 7 cherche le plus à impressionner. Pour peu que l'on ait coché les options correspondantes, la limousine bavaroise peut intégrer simultanément jusqu'à 5 caméras, et autant de radars !

Les portes des automobiles de prestige vous évitent d'avoir à les claquer au moyen d'une assistance électrique à la fermeture. Une entrée en matière feutrée pour ne pas briser le charme d'un intérieur étudié tout entier pour le calme et la volupté. Le moteur démarre d'une pression du doigt sur le bouton prévu à cet effet. Deux suffisent pour le maniement du sélecteur de la boîte automatique, qui trône sur la console centrale. Très assistée aussi, la direction laisse tout de suite apparaître l'avantage de maniabilité apporté par les 4 roues directrices. L'avantage procuré par le système en stabilité à haute vitesse est aussi patent. Seul regret : le manque de centrage et de consistance typique des directions actives BMW persiste.

L'isolation phonique est excellente : pas besoin d'élever la voix pour maintenir une conversation intelligible sur une autoroute allemande non limitée. Les bruits mécaniques sont aussi particulièrement bien insonorisés. Il faut tendre l'oreille pour reconnaître le timbre d'un moteur Diesel au volant de la 730d, à la vigueur étonnante. Logiquement, les 407 ch et 600 Nm du V8 biturbo de la 750i produisent des accélérations encore sensiblement plus virulentes, d'autant plus impressionnantes que les bruits et vibrations mécaniques qui les accompagnent sont plus ténues.

L'accomplissement technique réussi par BMW est remarquable. Jamais la Série 7 n'aura été aussi facile à conduire, n'aura semblé si légère et sûre à la fois, notamment grâce à ses 4 roues directrices. Mais le temps où une automobile se composait d'un moteur et d'un châssis est bien loin, et il semble que la personnalité d'une marque ou d'un modèle ne puisse que se diluer avec l'accumulation des équipements, en particulier ceux pensés pour en faciliter la conduite.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1430 du 15 octobre 2008.

Dans cet article : BMW, BMW Série 7

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