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Premier essai / BMW Série 5 Touring

L'intérêt de la Série 5 Touring ne se réduit pas à un coffre plus généreux : c'est le break qui étrenne le 2.0 Diesel de 184 ch. De quoi en faire un modèle de masse en plus d'un modèle de volume.

Prix
NC

La 4e génération de 5 Touring dérive bien entendu étroitement de la récente berline, laquelle partage désormais ses dessous avec la Série 7 et l'originale 5 GT. Cette mise en commun technologique signifie notamment que la 5 Touring est plus encombrante que celle qu'elle remplace. Malgré la prise d'embonpoint, l'habitabilité n'est pas aussi généreuse qu'on pourrait le croire. Mais les utilisateurs se consoleront sans doute en apprenant que le volume de chargement progresse de près de 12%, à 560 l (500 précédemment). Dossiers rabattus, l'espace est bien sûr encore plus généreux et atteint 1.670 l, soit 20 l de plus qu'auparavant.

La 5 Touring nous réserve aussi une surprise : l'arrivée du 2 litres Diesel. Ce 4 cylindres délivre aujourd'hui 184 ch. Même à froid ou poussé dans ses derniers retranchements, le nouveau «20d» ne claque jamais à l'oreille ni n'émet la moindre vibration. En voilà un qui sait se montrer discret malgré son punch digne d'un moteur de cylindrée supérieure. Certes un peu moins vigoureux qu'auparavant à très bas régime, ce 4 cylindres étale une remarquable disponibilité tout en procurant des poussées très linéaires, donc confortables. Tout aurait été parfait si seulement le Stop&Start se montrait moins brutal.

Annoncée pour le mois de septembre, la 520d Touring n'est sans doute pas la plus logeable de la catégorie, mais elle s'offre le joker d'un bilan performances/consommation inégalé. Ce strict aspect devrait sans doute déjà assurer le succès d'un modèle qui, financièrement, s'intercale à mi-chemin entre une A6 Avant 2.0 TDI 170 (38.460 euros) et une Mercedes E Break 220 CDI (45.254 euros).

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1475 du 7 juillet 2010.

Dans cet article : BMW, BMW Série 5

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