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Premier essai / Artega GT

Après bien des turbulences, c'est finalement grâce à une bouée de sauvetage mexicaine qu'Artega, petit constructeur allemand, a pu voir le jour. Nous avons testé sa GT, une sportive sans compromis dans le plus pur style de la biplace... anglaise.

Prix
NC

L'Artega GT est le fruit des cogitations de Henrik Fisker. Il a développé l'Artega GT comme une sportive très compacte. Comme il s'agit d'un coupé à moteur central arrière, les deux occupants sont installés fort en avant. Sous le capot, le moteur est d'origine Volkswagen, en l'occurrence le 3.0 VR6. Moins de 1.300 kg pour 300 ch, cela donne un rapport poids/puissance de 4,33 kg/ch. Nous avons atteint 271 km/h et 5,0 s, avec un 1000 m DA effectué en 24,0 s. Personne ne se plaindra du niveau des prestations de cette Artega GT, et certainement pas de la musique qui émane de sa ligne d'échappement spécialement travaillée. Frissons garantis !

Notre essai s'est déroulé à la mi-novembre, une période où la Belgique entière était noyée sous des trombes d'eau. Dans de pareilles conditions, tenir un tel engin sur la route devient parfois aléatoire. Certes, l'adhérence et la motricité n'ont pas manqué de nous surprendre, mais à l'approche des limites, les réactions peuvent être très brutales (tout comme celles d'une Lotus, d'ailleurs) et mieux vaut être capable de réagir très rapidement, voire d'anticiper les reprises d'adhérence, faute de quoi, c'est l'arrière qui passe devant ou le coup de raquette assuré ! S'installer à bord de l'Artega requiert un minimum de souplesse : la carrosserie est basse et l'ouverture des portes assez limitée, sans compter qu'il faut aussi «franchir » l'important rebord de l'assise du siège.

Le plaisir de conduire a un prix et Artega ne fait pas exception à la règle. Plutôt du genre voyant, la GT propose la bande son, le feeling et les performances qui vont avec son look, tout en restant honnêtement confortable et en se montrant correctement finie. En revanche, la visibilité périphérique est vraiment désastreuse et le VR6 Volkswagen a franchement le gosier en pente, mais surtout, on espère que l'ex-propriétaire Paragon pourra rapidement porter remède aux caprices électroniques dont était affligé notre modèle d'essai. Car si l'Artega GT s'adresse avant tout aux plus enthousiastes (en matière de sensations, ils ne seront certainement pas déçus), compte tenu de la somme à débourser, cette même clientèle est également en droit de s'attendre à une qualité irréprochable sur tous les plans.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1487 du 22 décembre 2010.

Dans cet article : Artega, Artega GT Coupé

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