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Premier essai / Subaru Trezia 1.3i

Fruit d'une première collaboration avec Toyota, la Subaru Trezia joue les clones de la Verso-S. Grâce à elle, de nouvelles perspectives s'ouvrent à la marque de Tokyo : le marché porteur des mini-MPV.

Subaru Trezia 1.3i #1
Prix
NC

Bâtie sur la plateforme de la Toyota Yaris actuelle, la Trezia repose sur une architecture de suspension traditionnelle (pseudo-Mc- Person à l'avant et essieu de torsion à l'arrière). L'empattement a été prolongé de 9 cm (à 2,55 m contre 2,46). D'une cylindrée de 1329 cm³, le 1.3 essence jouit des bienfaits de la distribution variable sur l'admission pour libérer 99 ch.

L'utilisation massive d'acier à haute limite élastique parvient à contenir la masse de la Trezia à 1.070 kg. Du coup, ses performances apparaissent respectables pour autant que l'on exploite le treize cents qui l'anime sur la bonne plage de régime, le couple faiblard requérant de constamment jouer du levier de vitesse pour assurer les relances. Une faiblesse à moitié pardonnée par l'excellente commande de boîte. La Trezia se veut saine et confortable. Quel que soit l'état du revêtement, elle réagit de manière progressive et prévisible, sans jamais surprendre.

S'ébrouant au démarrage avec discrétion, le 1.3 à essence reste relativement silencieux, même à vitesse autoroutière, du fait d'un 6e rapport plutôt long qui, à vitesse légale, induit un régime de 3400 tr/min. Au-delà, ce sont les bruits de vent qui prennent le dessus, tandis que ceux de roulement restent relativement contenus. On regrettera que le constructeur ne propose pas l'option banquette coulissante, si pratique lorsqu'il s'agit de choisir entre le confort des passagers ou le volume utile.

Malgré une dotation de série complète, notamment en ce qui concerne la sécurité, l'articulation de la gamme essentiellement favorable au Diesel oblige la variante à essence à se passer de certains équipements, pourtant parfois très utiles. Partant de là, on a du mal à imaginer comment la Trezia parviendra à s'imposer, face à des concurrents moins restrictifs dans leur politique d'équipement et mieux armés en après-vente grâce à des délais de garantie beaucoup plus longs. Pour le reste, la Trezia fait son job sans rechigner quelles que soient les conditions. Question de goût, donc !

Dans cet article : Subaru, Subaru Trezia

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