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Premier essai / Opel Astra Sports Sedan

L'Astra a attendu Moscou pour exister en 4 portes, avec tout de même l'idée de séduire plus que les clients des marchés émergents. Cette 4e carrosserie achève de tirer le reste de la gamme vers le haut.

La Sports Sedan a plus d'allure que les Astra et Kadett 3 volumes qui l'ont précédée. Non sans, d'ailleurs, nous faire profiter d'un coffre plutôt profond (460 l, jusqu'à 1.010 dossiers arrière rabattus). Le volume minimum réservé aux bagages est presque aussi généreux que celui du break Sports Tourer (500 l) et nettement supérieur à celui de l'Astra 5 portes à hayon (370 l).

En attendant la nouvelle génération des groupes de petite et moyenne cylindrées suralimentés (à injection directe d'essence notamment, dont un 1600 dévoilé à Moscou) dans les 18 mois qui viennent, nous avons renoué avec des moteurs turbo connus, tous à stop&start et boîte manuelle. Opel propose même le 2.0 CDTI Biturbo (195 ch, 400 Nm). Pour pouvoir le loger dans son plus petit compartiment avant, il a fallu compacter les 2 intercoolers en un à 2 étages. Ainsi motorisée, l'Astra devient une offre unique dans son segment. Pour avoir au moins aussi puissant en Diesel, il faut aller chercher plus haut en gamme, chez BMW avec la 125d (218 ch, 450 Nm).

À n'en pas douter, notre fiscalité maintiendra cette super-Diesel dans la confidentialité. Elle n'en demeure pas moins une offre homogène et cohérente, dans la mesure où haute performance et grande frugalité sont ici associées avec panache et sans débordement. Qu'il s'agisse de la GTC avec ses jambes de force à pivot découplé HiperStrut ou du châssis normal adapté au surcroît de couple, le train avant de la 2.0 CDTI Biturbo n'est pas vite saturé, assurant ainsi une conduite délectable. Que l'on goûtera d'office en 5 portes manuelle (berline ou break) habillée dans un ton sportif qui lui va bien.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1532 du 20 septembre 2012.

Dans cet article : Opel

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