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Premier essai / Lexus NX

Lexus a connu nombre de revers et retrouve le chemin de la croissance. C'est dans ce contexte que s'inscrit le NX, un nouveau modèle avec lequel la marque aborde un segment inédit pour elle.

Chez Lexus, on considère le NX comme un « game changer », une voiture qui doit modifier les repères au sein de son segment. Pour reprendre les termes utilisés par Mineo Hirabayashi, l'ingénieur chargé du développement de toute la structure, «le nouveau NX a pour mission de fixer de nouveaux standards, que ce soit en matière de style, de fonctionnalité, de technologies avancées ou d'efficacité routière ». Voilà qui apparaît pour le moins ambitieux... Quoi qu'il en soit, force est de constater que les lignes du NX sont originales. Le NX utilise en réalité une base connue, puisqu'il s'agit de celle du récent Toyota RAV-4. Mais les ingénieurs de chez Lexus insistent sur le fait que 90% des composants sont nouveaux, seule la structure portante (donc l'empattement) étant identique.

Fidèle à sa politique de ne commercialiser que des véhicules hybrides, l'importateur belge ne vendra chez nous que le NX 300h, dont la puissance combinée atteint 197 ch. Pour une première prise de contact avec son NX, Lexus nous avait invités à Seattle. Notre NX hybride d'essai s'est inséré sans peine dans le trafic américain, mais il faut d'emblée préciser que le modèle n'a rien d'une voiture à connotation sportive. Dans l'habitacle, la place ne manque pas, du moins à l'avant. À l'arrière, l'habitabilité est satisfaisante, sans plus. On est bien assis dans ce nouveau NX, surtout dans le modèle F-Sport, aux sièges spécifiques. Avec l'amortissement adaptatif, le bilan du confort s'avère lui aussi convaincant. Quant à savoir si le modèle va fixer de nouveaux standards en matière de comportement routier, bien malin qui pourrait le dire après cette seule prise de contact aux États-Unis...

Avec un tarif qui démarre à 42.000 euros, le nouveau NX se situe sensiblement au niveau des SUV compacts «premium» avec lesquels il entend rivaliser (Audi Q5, BMW X3 ou Mercedes GLK). Reste que la tâche s'annonce ardue pour le japonais, qui peut toutefois compter sur son style original, son nom auquel s'attache une réputation de fiabilité désormais bien ancrée, son équipement très complet et sa finition soignée. En décidant de ne commercialiser chez nous que la version hybride, l'importateur belge ne dispose pas du plus dynamique des NX, mais sans doute ce choix se justifie-t-il par le fait qu'il permet de positionner ce nouveau Lexus un peu autrement que ses concurrents et pas au-dessus d'eux.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1581 du 6 août 2014.

Dans cet article : Lexus, Lexus NX

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