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Industrie et économie / Ford soutient l’interdiction du thermique dès 2035

Rédigé par Frédéric Kevers le 17-05-2022

Ford s’associe à 24 autres grandes entreprises pour soutenir l’interdiction de vente des voitures neuves à moteurs thermiques en Europe dès 2035, à l’instar de ce qui est prévu au Royaume-Uni.

Ford veut s’ériger en chevalier blanc sur le marché européen et fait partie des 25 grandes entreprises ayant signé une pétition qui réclame à l’Union européenne l’interdiction de vendre des voitures et utilitaires légers (fourgons et camionnettes) neufs équipés d’un moteur thermique, même en hybride rechargeable. Cette démarche s’inscrit dans l’objectif que le constructeur américain s’est fixé : supprimer les moteurs à combustion interne de sa gamme et atteindre la neutralité carbone – sur le marché européen et au Royaume-Uni – d’ici 2035. Rappelons que Ford, au même titre que Audi, Mercedes-Benz, Mini, Renault et Stellantis, prévoit de ne plus proposer de modèles à moteur thermique sur le marché européen d’ici 2030.

>> Lisez aussi – Ford : 100 % électrique en Europe d’ici 2030

65 millions de bornes de recharge

Cette pétition va dans le sens de l’objectif fixé par l’Europe à ses 27 pays membres : réduire de 100 % les émissions de CO2 pour les véhicules neufs d’ici 2035. Pour soutenir cet ambitieux projet, Ford Europe a donc signé une pétition qui enjoint les instances européennes et nationales des pays membres à fixer des objectifs obligatoires en termes d’infrastructure de recharge, condition sine qua non pour permettre une mobilité 100 % électrique, supposément « 0 émission ».

>> Lisez aussi – Audi contre les incitants pour les hybrides rechargeables

Si les objectifs ne sont pas établis par les signataires de la pétition, ils devront être élevés si l’on se base sur une étude de Ernst & Young qui émet l’hypothèse que 65 millions de bornes de recharge seront nécessaires d’ici 2035 pour répondre aux besoins d’un parc automobile qui compterait alors près de 130 millions de véhicules électriques. Toujours selon le géant de la comptabilité, 85 % de ces 65 millions de bornes seraient des points de recharge domestiques pour seulement 15 % de bornes publiques ou au sein des sociétés.

>> Lisez aussi – Passage au full électrique, qui et quand ?

Pour Stuart Rowley, patron de Ford Europe, « la liberté de mouvement va de pair avec le souci de notre planète et des autres. C'est pourquoi nous visons à ce que tous les véhicules Ford ne produisent aucune émission d'ici 2035. Pour y parvenir, les responsables politiques de l'UE doivent également fixer des objectifs nationaux obligatoires pour une infrastructure de recharge électrique sans faille, à la hauteur de la demande croissante de véhicules électriques. ».

 

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