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Premier essai / BMW Alpina B5 bi-turbo

Dans l'attente de la nouvelle M5, l'Alpina B5 Bi-Turbo endosse le rôle de Série 5 la plus performante. Comme de coutume, tous les accents Alpina sont de la partie pour assurer une exclusivité rare.

Fort logiquement, l'Alpina B5 emploie la technique de la BMW «5», héritant ici du V8 turbo de la 550i qui, après moult modifications, voit sa puissance bondir de 100 ch, soit de 407 à 507 ch. Comme dans les autres Alpina, le moteur est couplé à une boîte automatique, en l'occurrence la nouvelle ZF à 8 rapports. Les ingénieurs Alpina y intègrent leur propre gestion Switch-Tronic offrant la possibilité de passer les rapports manuellement via des boutons au volant. De plus, en mode Sport, une très brève coupure d'alimentation dans un cylindre bien précis procure des passages de rapports ultrarapides et sans à-coups.

Contrairement à sa devancière (à compresseur), la nouvelle B5 se laisse facilement appréhender et n'hypothèque aucunement le confort, en particulier grâce à la douceur de sa boîte de vitesses. Or il suffit de passer en mode Sport pour dévoiler son autre visage. La sonorité feutrée du V8 se mue en grondements impressionnants, l'imposante berline se propulse à 100 km/h en 4,7 s. La borne du premier kilomètre est franchie en 22,3 s. Avec sa boîte automatique, l'Alpina B5 fait mieux que la précédente M5 à boîte robotisée et, à titre anecdotique, on rappellera que, faisant fi de tout limiteur, Alpina laisse la B5 pointer à 310 km/h... Quant au freinage, les roues mordent l'asphalte avec une efficacité rarement rencontrée au volant d'une voiture... autre qu'une Porsche.

Si l'on considère souvent Alpina comme une sorte de préparateur maison BMW, il s'agit en fait d'un constructeur à part entière comblant un vide dans la gamme du constructeur bavarois, entre les Béhèmes normales et les très musclées versions «M». En performances, les Alpina n'ont rien à envier à ces dernières, mais dévoilent une culture de la puissance différente. Moins d'exubérance (y compris dans l'apparence) et un côté plus force tranquille. En somme, de l'exclusivité absolue en toute discrétion... mais au prix fort.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1503 du 3 août 2011.

Dans cet article : BMW Alpina

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