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Essai détaillé / Tesla Model Y Propulsion: Être et avoir été?

Rédigé par Frédéric Kevers le

Si le Model Y «Juniper» gagne en personnalité visuelle, avec quelques accents empruntés au Cybertruck, il n’en va pas de même côté technique. En misant encore et toujours sur ses acquis, Tesla ne prend-elle pas le risque de manquer la cible d’un marché en perpétuelle quête de nouveauté? Texte : Frédéric Kevers | Photos : Jonathan Godin

  • Avis Rédaction 16.00 /20

En anglais, la lettre Y se prononce comme le mot «Why» – pourquoi. Une question qui sied bien à ce crossover familial devenu, presque malgré lui, icône mondiale. Pourquoi donc retoucher la voiture électrique la plus vendue au monde en 2024? Peut-être parce qu’elle ne l’est plus tout à fait… Lancé en 2020, le Model Y affiche déjà cinq ans de carrière sans refonte majeure, quand la concurrence a souvent déjà entamé son second cycle de vie. Tesla, fidèle à sa logique d’amélioration continue, a toujours boudé les restylages traditionnels. Mais cette fois, le contexte a changé. Entre guerre des prix menée en Chine et offensive des rivaux, la position dominante du Model Y s’est effritée. Ajoutez à cela les polémiques entourant Elon Musk, et l’on comprend que le Model Y avait besoin de se réinventer, au moins en partie. Reste à savoir si cela suffira… et s’il n’est pas déjà trop tard.

LE CONCEPT
À l’origine, le Model Y semblait une Model 3 simplement «tirée» vers le haut. Un design pas vraiment harmonieux mais pratique, avec un espace intérieur vaste et une silhouette très fluide, précieuse pour l’aérodynamique. Cette sobriété a séduit, et l’on attendait logiquement que le Model Y suive les traces stylistiques de la récente Model 3 restylée. Surprise: cette évolution baptisée Juniper emprunte une voie plus audacieuse. Certes, l’habitacle reprend fidèlement celui de la Model 3 modernisée (voir encadré «Bienvenue à bord»), mais l’extérieur gagne en singularité. Les volumes restent identiques, mais les faces avant et arrière sont entièrement redessinées, allongeant la voiture de 39 mm sans toucher à l’empattement. Le museau évoque subtilement le Cybertruck, avec une signature lumineuse traversant toute la largeur, façon «Robocop», tandis que les projecteurs migrent dans le bouclier.
À l’arrière, les feux adoptent un large bandeau rouge rétroéclairé, discret et élégant, à la manière d’une Polestar 4. L’ensemble donne enfin au Model Y une vraie personnalité, qui tranche avec la monotonie stylistique de la gamme Tesla… et de ses nombreuses copies chinoises.

  • Nouveau look très réussi
  • Efficience de référence
  • Interface très intuitive
  • Suspension trop bruyante
  • Qualité des matériaux un peu légère
  • Carrosserie très exposée

Dans cet article : Tesla, Tesla Model y

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