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Premier essai / Volkswagen Caddy Life : Reprendre le contrôle

Rédigé par Laurent Blairon le

Ne vous fiez pas aux formes relativement familières de ce nouveau Caddy, tout le véhicule est neuf, voire très innovant dans un segment où les considérations restent avant tout rationnelles. La concurrence est déjà sous pression.

+10 cm

Ses dessous, le Caddy 5 les partage avec ceux de la Golf VIII (plateforme MQB), ce qui réécrit tout en matière de comportement, d’équipement et de digitalisation (sécurité et confort). En longueur extérieure, le Caddy normal (nous testerons le Maxi plus tard) croît de 10 cm, dont 7 rien que sur l’empattement, au profit direct de l’espace de vie et bien sûr du coffre. Comme de coutume, le Caddy avalera goulûment valises, vélos, mobiliers et animaux de compagnie. À l’extérieur, les nouveaux phares à diodes (dont les grandes rampes verticales à surface incurvée), le logo posé sur le hayon, les nouveaux coloris ou encore les nouvelles poignées de porte tranchent diamétralement avec l’aspect strict de la version précédente. Sans non plus en faire un prix de beauté, les stylistes semblent avoir eu plus leur mot à dire.

Immense, mais…

Accéder à bord nous replonge dans l’immensité des ludospaces. Les assises semblent plus accueillantes (nouvelles mousses de sièges) que jamais. On s’y installe à 5 sans souci. L’immense toit panoramique égaye l’habitacle, mais l’absence de store occultant sera vécu comme un souci par les plus photosensibles. Autre regret: nous pensions que la plateforme MQB rapprocherait la modularité du nouveau Caddy de celle du Touran, avec un système de sièges modulables intelligents, or il n’en est rien. La banquette reste très traditionnelle, c’est-à-dire que l’on peut rabattre les dossiers, mais il faut les enlever pour profiter d’une configuration cargo, avec tous les supplices physiques que cela suppose. Il fallait bien faire des économies quelque part…

De Pentium à i9

Car d’économies, il n’en est pas question au volant. Cela commence par un tableau de bord nettement plus travaillé, avec du relief et des formes complexes. Le plastique domine, mais il semble de bonne facture. On apprécie l’inédite cavité aménagée au sommet afin de recevoir documents, vêtements et autres accessoires du quotidien. Les rangements sont vastes. Mais en s’installant, les yeux plongent surtout dans les écrans dernier cri (10,25" pour le tableau de bord, 10" pour la dalle centrale). Couleurs, représentations et animations graphiques, effets lumineux, arborescence des menus, réalité augmentée de la navigation, c’est comme si du Caddy 4 au Caddy 5, on était passé du processeur Pentium au Core i9, ou du tube cathodique à la 8k!

Les commandes sont dignes de la Golf: tactiles sur l’écran, mais également nouveau volant multifonction et commandes vocales avancées. Tout cela sert avant tout à la navigation, aux appels téléphoniques, à l’ambiance de bord (sons & lumières), mais aussi à accéder à tout un écosystème connecté (We) pour préparer vos visites professionnelles et/ou de loisirs… voire faire du shopping au volant. Remarque: les nouvelles commandes par effleurement – à la base de l’écran central, pour le volume et la température – laissent presqu’une impression de «surclassement» pour un Caddy, en particulier dans le cas du Caddy Van. Dieu qu’on est loin du Caddy 1, cette bonne vieille Golf 1 à benne !

Velu et à plat

Comme pour souligner l’importance du Diesel sous le capot d’un Caddy, c’est par le mazout que nous parcourons nos premiers kilomètres, en version 122 ch, un 2.0 TDI de dernière génération «à double dosage» (126 à 136 g/km de CO2 WLTP). Velu et pas trop présent – VW semble avoir gonflé la dose de matériaux isolants afin de le mettre plus en sourdine, ainsi que d’ailleurs le chant des roues –, notre Caddy ronronne à moins de 2.000 tr/min à 120 km/h. Les reprises sont convenables et la DSG7 (qui adopte le petit levier joystick de la Golf) témoigne – sinon d’une grande rapidité – d’une juste réactivité. Mais c’est le comportement du nouveau Caddy qui retient l’attention. Comme attendu, il vire plus à plat et avec un meilleur contrôle des mouvements de caisse et sa nouvelle direction apporte plus de précision.  Bref : le nouveau Caddy est incontestablement beaucoup plus efficace et agréable. Plus contrôlé aussi : pas moins de 19 assistances – dont 5 inédites - à la conduite en font un véhicule autonome de niveau 2 qui accélère, freine et vous alerte d’un danger avant d’en avoir conscience. VW a fait fort.

Notre verdict

Toute une gamme Caddy figure au programme. Les niveaux d’équipement sont au nombre de trois: Drive, Life et Style. Le Maxi arrivera en 2021, de même que les versions 4Motion, CNG, hybride et California. Il entame sa carrière en TDI de 102 et 122 ch, ainsi qu’en 1.5 TSI de 114 ch avec un premier prix à 23.780 € (Drive TDI 102). Le Caddy Style 122 DSG7 que nous vous montrons ici flirte avec les 35.000 euros. Le «beau» et la technologie coûtent cher…

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