Connectez-vous

Se connecter avec Facebook

ou

Vos identifiants sont incorrects.
Je me connecte Mot de passe oublié ?
Aucun compte Facebook n'est lié au site, veuillez vous inscrire.

Mot de passe oublié ?

×
Réinitialiser mon mot de passe
Nous vous enverrons un email pour la réinitialisation de votre mot de passe.
Aucun compte n'est lié à cet email.

Vous n’avez pas encore de compte ?
INSCRIVEZ-VOUS GRATUITEMENT.

Premier essai / Seat Ibiza Cupra

L'emblématique logo Cupra revient chez Seat. Première servie : l'Ibiza, qui mise toujours sur le formidable petit quatorze-cents à double suralimentation de 180 ch.

Prix
NC

Pare-chocs rase-bitume fendu d'une entrée d'air béante, feux à diodes arborant un large sourire, coquilles de rétroviseurs noires, jupes sculptées, faux diffuseur arrière enserrant une sortie d'échappement centrale surdimensionnée: on ne peut pas dire que la Seat Ibiza Cupra passe inaperçue. Techniquement, la Cupra fait toujours cause commune avec la Polo GTI et la Fabia RS, puisqu'elle continue de recourir à l'ensemble 1.4 TSI-boîte DSG 7 également utilisé par ses deux cousines du groupe. Le bloc se caractérise donc toujours par sa suralimentation double.

Sur la route, l'Ibiza Cupra fait surtout valoir la qualité de sa mécanique, tant aux allures courantes où son couple généreux permet d'adopter une conduite fluide, que sur les parcours rapides, où l'on profite d'une belle allonge et, surtout, une sonorité rauque très agréable à l'oreille. La boîte DSG remplit quant à elle très bien son office : sa rapidité et son absence de rupture de couple la rendent très efficace, même si, malgré les palettes au volant, elle refuse toujours d'enchaîner plusieurs rapports à la fois. Cela dit, au quotidien, elle possède l'immense mérite de décontracter la conduite tout en permettant d'exploiter facilement les ressources disponibles le cas échéant.

Joliment présentée et offrant des performances tout à fait dignes, la nouvelle Ibiza Cupra sort de l'ordinaire. Mais à condition de ne pas la prendre pour ce qu'elle n'est pas : une GTI pure et dure. Davantage orientée vers le compromis, elle n'a pas le caractère affûté et joueur de certaines de ses rivales, Clio RS en tête. Mais à nos yeux, ce n'est qu'un demi-défaut dans le sens où elle reste aussi beaucoup plus utilisable au quotidien.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1543 du 20 février 2013.

Dans cet article : Seat, Seat Ibiza

Essais

Nos essais

Les concurrentes

Stocks

Voitures de stocks à la une

Occasions

Voitures d'occasions à la une