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Premier essai / Abarth 500

Passé maître dans l'art d'assaisonner le pot de yaourt dans les années 60, Abarth nous ressert une 500 savamment cuisinée. Parmi les ingrédients, un 1.4 T-Jet de 135 ch posé sur un châssis peaufiné.

Sous le capot de l'Abarth 500, on trouve un quatorze-cents suralimenté par un turbo à géométrie fixe qui délivre 135 ch à 5000 tr/min et 180Nm à 2500 tr/min, voire 206 Nm à 3000 tr/min lorsque le mode «Sport» est sélectionné via l'interrupteur au tableau de bord (qui réduit également l'assistance de la direction). Curieusement, il est accouplé à une boîte manuelle à 5 rapports alors que la 500 1.4 100 ch dispose de série d'une boîte à 6 rapports. Pour cette première prise en main (exclusivement sur la piste d'essai de Balocco), l'ensemble moteur/boîte nous est néanmoins apparu très cohérent, dans le sens où le moulin dispose effectivement de suffisamment d'allonge et de souplesse pour ne fonctionner qu'avec 5 rapports.

Au premier contact, la sonorité à la fois rauque et sifflante de l'échappement flatte l'oreille de l'admirateur. Dommage qu'une fois assis au volant, le paysage sonore s'estompe quelque peu. Qu'à cela ne tienne, l'esprit sportif est tout de même bel et bien présent dans l'habitacle. Le petit T-Jet n'est pas avare en souplesse ni en allonge. Les montées en régime sont rapides et l'on prend plaisir à titiller la zone rouge. Dynamiquement, l'Abarth 500 nous a bluffés en faisant à la fois preuve d'une grande agilité en courbe et d'une stabilité à toute épreuve. Même honteusement malmenée dans les enchaînements rapides, la bombinette de Turin réagit toujours de manière très saine et progressive aux transferts de masses. En d'autres termes, la voiture est facile à appréhender et rassurante en toute circonstance.

Reste donc à confirmer ces bonnes impressions par un essai routier plus approfondi. Pour cela, il faudra attendre encore un peu, l'Abarth 500 n'arrivant chez nous qu'en janvier 2009. Quant au prix de vente, il devrait avoisiner les 18.500?. Pour les aficionados, Abarth avait également prévu une version spéciale Opening Edition portée à 160 ch et limitée à 199 exemplaires... déjà tous vendus bien avant la mise en production.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur automobile 1424 du 23 juillet 2008.

Dans cet article : Abarth, Abarth 500

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