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Essai comparatif / Le Hyundai Tucson 2.0 CRDi face à ses concurrents

Dans sa première vie, le Tucson s’est attelé à rendre le blason Hyundai populaire sur le sol européen. De retour aux affaires après avoir cédé le flambeau à un ix35 aussi populaire qu’éphémère, le Tucson se voit investi d’une nouvelle mission: tirer l’étiquette Hyundai vers l’univers «premium». Pari réussi? Vérification avec deux concurrents outsiders aux châssis aussi acérés que leurs dents sont longues…

Au début de sa carrière, en 2004, le premier Hyundai Tucson a tout autant contribué à l’engouement du public européen pour la silhouette SUV qu’il en a profité. Dans la foulée, encore plus que son grand frère Santa Fe lancé 3 ans avant lui, le Tucson a popularisé le blason Hyundai sur le Vieux Continent, au point de transformer la marque coréenne en docteur ès SUV. Depuis 2001, Hyundai a écoulé plus d’un million d’exemplaires du genre sous nos latitudes. Même si la gamme s’est sensiblement étoffée entre temps, les SUV restent d’ailleurs bien ses fers de lance sur le sol européen. Sur l’exercice 2014, l’ix35, le successeur du Tucson, représentait à lui seul… 22% des ventes totales de Hyundai en Europe! S’il renoue avec l’appellation Tucson originelle, le nouveau SUV du segment C proposé par la marque asiatique se voit investi d’une nouvelle mission. Si son paternel mettait, il y a plus de 10 ans, surtout en avant son rapport qualité/prix pour réaliser du volume, le petit dernier doit dorénavant viser une clientèle «premium» sans brader ses services. De l’aveu même de ses concepteurs, ce nouveau Tucson a été développé «pour faire connaître Hyundai à un vaste éventail de nouveaux clients qui n’avaient peut-être pas envisagé de s’y intéresser auparavant». Voilà qui est clair. Et ambitieux.

S’il conserve l’appellation de son prédécesseur, le Ford Kuga deuxième du nom change lui aussi de stratégie. Celui qui s’intègre dorénavant dans une famille (qui devrait représenter 10% des ventes de Ford en Europe d’ici 2018) composée de deux autres SUV – un petit frère, l’EcoSport, et un grand frère, l’Edge – n’est plus exclusivement taillé pour l’Europe. Le Kuga dérive dorénavant de l’Escape américain et se destine à une carrière mondiale. Plus question d’être le trublion de la bande: lors de sa refonte, le Kuga a gagné en maturité et en polyvalence ce qu’il a perdu en agilité et compacité.

Lancé en 2012, quelques mois avant la deuxième génération de Kuga, et endossant dès lors le rôle de vétéran de notre confrontation, le CX-5 marquait quant à lui les premiers pas officiels de la technologie SkyActiv chez Mazda. Une palette de trouvailles destinée à magnifier le comportement et réduire les émissions polluantes devenue aussi inévitable dans le développement technique des Mazda modernes… qu’incontournable dans le langage marketing officiel du constructeur nippon.

Dans cet article : Hyundai, Hyundai Tucson , Mazda, Mazda CX-5 , Ford, Ford Kuga

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