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Premier essai / Bentley Continental GTC

Comme le coupé peu de temps avant lui, le cabriolet Continental GTC évolue en profondeur sans se dénaturer pour autant. La marque des grands (et des lourds)...

Prix
NC

Le cabrio GTC adopte les voies élargies du coupé et la répartition 40/60 du couple du moteur afin de privilégier un comportement un peu plus dynamique qu'auparavant. Attention : il pèse encore toutefois près de 2,5 tonnes, soit 140 kg de plus que le coupé. On comprend que le W12 biturbo ai fait l'objet d'évolutions l'ayant fait passer de 560 à 575 ch et surtout de 650 à 700 Nm ! Le tout transitant par une boîte automatique ZF à convertisseur, ne pouvant toujours compter que sur 6 rapports. Bien qu'elle bénéficie d'une nouvelle gestion électronique, on la surprend à l'usage à quelque paresse, voire à un manque de réactivité, à moins d'avoir recours à la sélection manuelle via les larges palettes derrière le volant.

La protection aux remous aérodynamiques est excellente, du moins avec le filet pare-vent installé (qui condamne au passage la banquette) et permet de tenir une conversation avec son voisin sans élever la voix, même à des vitesses prohibées. Et si la température fraîchit, il suffit d'activer le «neck warmer», le chauffage de nuque, qui distille un petit courant d'air chaud via l'appui-tête. Capote (tricouche) repliée dans son logement, on est agréablement surpris par la finition du cache et des jointures très fines entre éléments fixes et mobiles de la carrosserie. Aucun sifflement importun ne vient perturber la quiétude ambiante. Les renforts de structure, doublés d'isolants nombreux, se montrent visiblement efficaces. Il faut dire qu'on n'a pas lésiné sur leur nombre, faisant de ce cabrio l'un des plus lourds du marché.

À près de 210.000 euros, la nouvelle génération de Continental GTC rencontre une maigre concurrence au sein des cabriolets 4 places : une BMW 650i Cabrio ? Trop accessible avec ses 100.000 euros et trop timorée avec ses 408 ch ! Une Maserati GranCabrio ? Encore un peu léger, avec 140.000 euros pour 440 ch. Une Rolls- Royce Phantom Drophead ? Trop gourmande cette fois, en exigeant plus du double pour 460 ch. Du coup, on en viendrait presque à parler en l'occurrence d'un bon rapport qualité/prix... Un comble !

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1509 du 26 octobre 2011.

Dans cet article : Bentley, Bentley Continental GT

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