La voiture autonome réclame un cadre légal si pas mondial ou moins le plus global possible pour accélérer son développement. De nombreux acteurs du secteur se sont ainsi regroupés aux Etats-Unis pour réclamer une réglementation homogène au niveau fédéral. Les autorités américaines travaillent dès lors actuellement à l’élaboration d’un cadre légal global pour les voitures autonomes. Il va toutefois être compliqué de trouver un terrain d’entende pour satisfaire tous les acteurs. On sait que Google, par exemple, milite activement pour que ses voitures autonomes sans volant ni pédales puissent être autorisées sur les routes américaines. Mary Barra, la PDG de General Motors n’en veut pas !
Par sécurité
Dans un discours prononcé lors de l’assemblée générale des actionnaires de GM, Mary Barra a estimé « qu’il est très important de privilégier la sécurité » lors du développement des voitures autonomes, tout en ajoutant : « nous pensons que de garder un volant et des pédales est un moyen de le faire ». Voilà qui va mettre des bâtons dans les roues de Google mais également d’Uber et d’autres sociétés qui rêvent de déployer une armée de « robots-taxi ».
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